Nous avons constitué un portefeuille de titres d'une valeur de 15090.48 euros. Le choix des actions s'est opéré dans une optique de limitation des pertes éventuelles. C'est pour cette raison que nous avons procédé à une diversification des titres.
Les actions retenues : EDF, L'Oréal, Renault, Suez, Alstom, Hermes, Sodexho Alliance et TF1 ont fait l'objet d'une étude attentive reposant principalement sur l'actualité récente.
L'annonce de la nouvelle stratégie de Renault destinée à relancer la croissance, l'introduction en bourse d'entreprises anciennement publiques comme EDF, la possible fusion entre Suez et GDF, nous ont conforté dans le choix des différentes valeurs.
En ce qui concerne les autres actions retenues, Hermes a accru ses ventes de 7.2% en 2005 et espère réaliser une croissance du même ordre en 2006 que celle de 2005. Le PDG d'Alstom, Patrick Kron, a récemment annoncé le redressement de son groupe : la dette a été fortement réduite et les fonds propres ont été renforcés grâce à une augmentation de capital et à des résultats positifs. Lindsay Owen Jones, PDG du groupe l'Oréal s'est félicité du fait que l'Oréal ait réalisé une progression supérieure à celle du marché mondial des cosmétiques en 2005 et depuis le début de l'année 2006. L'accélération de la croissance pourrait surtout se faire en Europe de l'Ouest.
Sodexho Alliance, le groupe de restauration collective et de services associés a confirmé des objectifs de croissance intéressants pour 2006. En effet, le marché du multiservice (offre variée sur le lieu de travail : livraison de snacks, pressing, service shopping, etc) est le point fort de ce groupe. Enfin, TF1 a été retenu pour son fort potentiel de développement notamment dan l'Internet et la téléphonie mobile (Accord avec Neuf Cegetel).
En effet, le portefeuille comprend des titres qui touchent à des secteurs d'activités différents, ce qui devrait permettre d'éviter de trop lourdes pertes pouvant naître d'inadaptations structurelles d'un secteur, ainsi que de faire face aux évolutions de la conjoncture internationale.
[...] D'autres professionnels se veulent nettement plus prudents : Ainsi, JP Morgan, qui reste à 'sous pondérer' sur Hermès, se dit déçu par la prévision d'une croissance organique de en 2006, qu'il compare avec l'objectif d'un taux de croissance à deux chiffres chez LVMH (comparer ce qui est comparable). Le groupe de luxe va racheter des titres pour compenser, en effet il a racheté de ses propres actions, pour près de 8,5 millions d'euros les et 31 mars, par l'intermédiaire de Crédit Agricole Indosuez, à un prix moyen pondéré de 210,28 euros. Puis, à nouveau, le groupe rachète de ses propres actions, pour près de 9,7 millions d'euros. [...]
[...] Or c'est le risque de perte qui gêne l'investisseur, et non la propension au gain. De plus, la volatilité d'une action, à l'instar de ses performances, évolue au cours du temps. Les enseignements qu'il convient d'en tirer doivent donc être relativisés en fonction de la période et de la phase de marché considérées. La rentabilité continue quant à elle, permet un regard sur l'évolution hebdomadaire, à mettre en parallèle avec le graphique. Sa moyenne nous donne le rendement moyen de l'action. [...]
[...] Cette limite de 20% peut être portée à 35% pour une seule entité émettrice. L'argent investi est ici principalement placé dans des instruments financiers qui connaîtront l'évolution ainsi que les aléas des marchés. Ainsi des risques de marchés liés aux évolutions de l'indice HSCEI qui est publié et calculé par HSI. De plus, rien ne permet de garantir que l'objectif de gestion du FCP sera atteint. En effet, aucun actif ou instrument financier ne permet une réplication automatique et continue de l'indice HSCEI : les repondérations de l'indice HSCEI peuvent entrainer divers coûts de transactions ou de frottements. [...]
[...] Nos actions sont les principales causes de ces variations. Nous en examinerons les fluctuations dans le cadre de notre analyse de la rentabilité et du risque des deux portefeuilles. Pour apprécier pleinement l'étude de ces portefeuilles, nous avons utilisé plusieurs formules nécessaires à la compréhension des évolutions des actions. Nous avons retenu la rentabilité continue, la variance, l'écart type, la volatilité. Nous retiendrons que le risque est faible lorsque la volatilité est inférieure à modéré lorsqu'elle est comprise entre 15 et fort si la volatilité annuelle est supérieure à 30%. [...]
[...] A moyen terme, TF1 devra avoir à faire face à plus de compétition de la part des nouvelles chaînes de la TNT ainsi que de la concurrence d'Internet. La semaine suivante, le 24 février, le titre est une nouvelle fois en baisse à 25,51 euros : cette dégradation fait suite à la récente hausse du titre et à l'annonce par le groupe d'un scénario moins favorable en matière de publicité. La rentabilité du groupe est très dépendante de la chaîne TF1 et de ses recettes publicitaires. [...]
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