Le contexte actuel de crise économique a amené les entreprises à réduire les coûts de production. Or un des facteurs de production est le facteur travail. Dès lors, les entreprises ont décidé de réduire les effectifs et provoquer une vague de licenciement : des licenciements économiques dans le but de maintenir l'activité de l'entreprise. De plus, la jurisprudence admet aussi qu'une réorganisation constitue un motif valable de licenciement si elle est nécessaire pour la sauvegarde de la compétitivité de l'entreprise. L'introduction de cette notion permet aux entreprises de se situer dans une démarche d'anticipation : alors que les difficultés économiques s'apprécient à la date de notification du licenciement, autrement dit elle permettrait à une entreprise de se réorganiser et de procéder à des licenciements économiques « pour prévenir des difficultés économiques à venir ».
[...] Certes les profits sont énormes, mais si les actionnaires ne ''gagnent ''pas suffisamment pourquoi resteraient-ils ? Avec la mondialisation ils mettent leur argent où cela rapporte le plus. Le licenciement boursier permettrait d'avoir plus de souplesse pour les entreprises, voir même contribuer à garder les salariés les plus performants et efficace ainsi être bénéfique pour l'ensemble des parties prenantes de l'entité économique (éliminer les moins performants pour laisser place à ceux qui mérite le plus). Les effets négatifs d'une interdiction des licenciements boursiers. [...]
[...] Rien ne laisse présager que l'entreprise se portera bien dans les années à venir. En cas de mauvaise prévision du chiffre d'affaires, l'entreprise doit prendre les devants et agir avant que la situation s'aggrave. Il est donc logique que l'entreprise puisse adapter sa main d'œuvre en fonction de l'activité qu'elle aura dans les prochaines années. Les licenciements boursiers sont contre l'éthique. Les actionnaires restent les acteurs privilégiés au détriment des salariés. Il faut savoir que les actionnaires sont les apporteurs de capitaux de l'entreprise. [...]
[...] De ce fait, ce serait une erreur d'interdire les licenciements boursiers. Il faudrait simplement les encadrer en trouvant la meilleure solution pour contenter les employeurs les actionnaires et les salariés. Nous pourrions autoriser les licenciements boursiers en France, ce qui satisferait les actionnaires et les employeurs qui garderaient l'intégralité de leur pouvoir de gestion et indemniser les salariés licenciés proportionnellement au bénéfice de l'entreprise ainsi que lui prévoir un plan d'accompagnement et de reconversion de qualité. [...]
[...] Si l'on ne connaît pas avec précision l'écart entre performances de cet ordinateur et ses concurrents, il n'est pas possible de prévoir l'ampleur de la hausse des bénéfices futurs. Une fois le nouvel ordinateur introduit sur le marché, il est possible qu'il se révèle plus performant que l'estimation moyenne, auquel cas le cours de l'action augmentera. Dans le cas contraire, si sa performance est inférieure à l'estimation moyenne, le prix baissera, même si l'ordinateur est de fait plus performant que tous ses concurrents sur le marché. [...]
[...] Faut-il interdire les licenciements boursiers dans les entreprises réalisant des bénéfices ? Thèse du non INTRODUCTION Le contexte actuel de crise économique a amené les entreprises à réduire les coûts de production. Or un des facteurs de production est le facteur travail. Dès lors, les entreprises ont décidé de réduire les effectifs et provoquer une vague de licenciement : des licenciements économiques dans le but de maintenir l'activité de l'entreprise. De plus, la jurisprudence admet aussi qu'une réorganisation constitue un motif valable de licenciement si elle est nécessaire pour la sauvegarde de la compétitivité de l'entreprise. [...]
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