Mémoire de finance visant à déterminer comment, d'une part, en octroyant des crédits, les banques arrivent à trouver le juste équilibre entre un risque nuisible à leur pérennité et une rentabilité indispensable à leur survie et, d'autre part, de quelle façon et par quels moyens un banquier peut apprécier et évaluer les risques liés à un crédit pour prendre la décision adéquate. Enfin, il présente les techniques et les instruments de couvertures à mettre en place pour éviter au maximum le risque de crédit.
[...] De ce fait, nous proposons la reconduction de la cote existante soit 2.500 mD. Escompte commercial : Le programme des ventes locales de la société pour un chiffre d'affaires global de 37.000 mD pour l'année 2003 s'établit comme suit : Les données ci dessus présentées nous conduisent à une cote théorique de 1.541 mD. Par ailleurs, les utilisations de la relation en terme d'escompte commercial auprès du système bancaire ont oscillé entre 576mD (en mai 2002) et 236mD (en mars 2003). [...]
[...] Les documents à solliciter sont généralement différents les uns des autres selon la nature du projet : création ou extension. En voici les plus importants : le plan de situation de la location du projet, la présentation du schéma d'investissement et du financement du projet à réaliser, la liste du matériel à acquérir, la décision d'avantages fiscaux et financiers délivrée par les autorités compétentes, l'étude de la rentabilité prévisionnelle du projet, l'état d'avancement de la réalisation de l'investissement prévu si elle est déjà engagée, les justifications des dépenses d'investissement déjà engagées et de leur financement, la capacité nominale de production, un devis des travaux à réaliser, le planning de réalisation de l'investissement en précisant la date prévisionnelle d'entrée en production des nouveaux équipements, autres sources de financement et leur quote-part, le tableau de financement et d'exploitation prévisionnels, les dossiers relatifs aux garanties proposées. [...]
[...] Selon Rivaut & Danset (1991), tous les systèmes bancaires exigent des sûretés, le degré de formalisme des garanties requises décroissent avec la taille de l'entreprise, le degré d'exposition au risque et le rapport de force entre le banque et l'entreprise. Selon l'importance du risque encouru, la nature de la créance et les usages, la banque exigera de l'emprunteur des sûretés réelles et/ou personnelles, des cautions personnelles ou mutuelles les sûretés réelles Elles correspondent à des techniques juridiques permettant à un établissement bancaire et financier aidant une entreprise à acquérir un actif en lui apportant tout ou partie du financement nécessaire, de se voir attribuer un droit de préférence sur cet actif jusqu'au remboursement complet du crédit. [...]
[...] La Trésorerie Nette La TN est l'excédent (ou le déficit) de la trésorerie active par rapport à la trésorerie passive. Elle correspond à la différence entre le FR et le BFR. L'analyse financière par la méthode des ratios La méthode des ratios n'est pas propre à l'analyse financière mais elle est d'un usage extrêmement utile dans ce domaine. Elle consiste à faire des rapports arithmétiques judicieusement choisis entre les postes comptables des différents documents financiers d'une entreprise (après retraitements) susceptibles de permettre d'apprécier la situation financière de cette entreprise, de suivre son évolution passée et d'anticiper son évolution future. [...]
[...] L'autorisation est généralement toujours inférieure au plafond défini. Couverture du risque encouru par la BIAT sur le client L'examen du dossier de crédit permet d'évaluer le risque de la banque sur un client donné et doit constituer une occasion propice de mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour le couvrir. En effet, la banque va exiger des garanties déductibles en couvertures des engagements (garanties de l'Etat, de banquiers ou d'assurances, et de la clientèle sous forme de dépôts nantis). [...]
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