Gérer un portefeuille c'est choisir des actifs qui constituent un portefeuille de titres mais c'est surtout savoir comment allouer sa richesse entre ces différents actifs.
Il est donc essentiel de déterminer une allocation optimale, la meilleure combinaison entre actifs risqués et non risqués.
Toutefois, évaluer le niveau d'incertitude auquel nous devons faire face requiert des connaissances approfondies sur l'univers de gestion qui s'articule autour du contexte économique et financier.
Une économie en récession
Au quatrième trimestre 2008, le recul de l'activité mondiale a été plus prononcé que prévu. -1,8 % dans les économies avancées au lieu de -0,9 % ; -1,2 % en France au lieu de -0,8 %. L'activité industrielle et le commerce mondial se sont en particulier très fortement contractés et la récession se prolonge même au premier semestre 2009.
Le commerce mondial a continué de se replier nettement en janvier 2009 et le climat des affaires qui ressort des enquêtes de conjoncture s'est à nouveau dégradé en février. Ainsi, en France le climat des affaires atteint désormais un niveau historiquement bas.
L'activité devrait ainsi de nouveau se replier au premier trimestre 2009, en France (-1,5 %) comme dans l'ensemble des économies avancées (-1,7 %). Toutefois, un repli moins marqué est attendu au deuxième trimestre du fait notamment de la montée en puissance des plans de relance initiés par le gouvernement (...)
[...] Leurs recettes sont essentiellement constituées d'abonnements. Leurs rendements (européen) tournent à environ et ils ne distribuent qu'une petite partie de leur CAF aux actionnaires. Dans cette optique, France Télécom devrait finaliser sa restructuration d'ici à cinq ans et dominera les réseaux et les services. Services aux collectivités : La montée en puissance des considérations écologiques, l'augmentation de la production de déchets, ainsi que la réglementation favorable dopée par le grenelle de l'environnement, nous permettent de choisir Suez Environnement. D'un autre côté, en prenant quelques risques, EDF bénéficie de perspectives de croissance intéressantes sur un marché porteur et bénéficie d'une structure financière saine assorti d'un ambitieux programme d'investissement (10 milliards d'euros par an). [...]
[...] Notre stratégie d'investisseur : Compte tenu de l'environnement économique actuel, nos choix de placements se feront suite à l'analyse préalable entre les placements risqués, moyennement risqués et sans risques. Les placements actions sont sans aucuns doutes les plus risqués et les plus volatiles mais ils offrent la meilleure rentabilité. Le marché obligataire représente une solution moins risquée que le marché action mais il faudra surveiller l'évaluation de la solvabilité de l'émetteur, les taux d'intérêts, l'inflation. Leurs inconvénients majeurs résident dans le fait que l'on en est liés jusqu'à terme alors que l'environnement peut se modifier (croissance/crise). [...]
[...] Ceci permettra à la fois de se désengager progressivement des actions et bénéficier en même temps des déductions fiscales liées au PERP. Il faut retenir que plus l'horizon du PERP est court, plus le PERP est rentable (via les avantages fiscaux). Pour sortie du PERP, nous irons voir le banquier afin qu'il nous fasse un prêt pour acheter des OATI indexées en capital en valeur constante en euros. Il est évident que ce choix dépendra des situations individuelles de chacun à ce moment. [...]
[...] Il convient donc de les ajouter au portefeuille et de suivre très régulièrement le marché afin de profiter des opportunités, et ainsi vendre avec plus-value. Comment nous diversifier ? Cette question revient à nous demander comment nous allons construire un bon portefeuille, c'est-à-dire un portefeuille qui nous permette d'obtenir une bonne rentabilité en prenant un minimum de risques. Il n'y a pas de règle absolue de diversification, car la diversification retenue dépend des préférences et des anticipations de chacun. C'est pourquoi nous devons cerner notre profil d'investisseur. Une fois notre profil connu, nous pouvons en déduire ce qu'il nous faut mettre dans notre portefeuille. [...]
[...] Les gains seront divisés en 5 parts et chacun, en fonction de sa situation personnelle, devra les utiliser au mieux. La nomenclature ICB, "Industry Classification Benchmark", a pris effet au 2 janvier 2006 pour l'ensemble des sociétés cotées sur les marchés d'Euronext Amsterdam, Brussels, Lisbon et Paris. Cette nouvelle nomenclature sectorielle couvre dans le monde 40.000 sociétés et 45.000 titres. Elle permet aux investisseurs d'identifier les valeurs selon la hiérarchie ICB décomposée en dix industries super-secteurs secteurs et 104 sous-secteurs. [...]
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