La finance consiste en l'allocation optimale de ressources financières rares à des emplois multiples. Les ressources sont rares, donc pas il n'y a pas d'infinité des liquidités. Il y a quelque temps, nous nous trouvions dans un système ayant un excès de liquidités, mais la crise actuelle montre que l'on doit faire attention et donc ce n'est pas qu'une bonne chose.
Cette définition générale s'applique aussi aux entreprises. Enfin il convient de noter que le but est de maximiser le retour d'argent (on gagne plus que l'on investit).
La finance d'entreprise s'intéresse aux décisions d'allocations des ressources monétaires à des processus de production de biens et services sur un marché financier. Cette définition met l'accent sur l'aspect décisions et sur les critères pour prendre les bonnes décisions.
Par exemple, concernant le choix d'investissements, sélectionner les plus rentables n'est pas un critère suffisant. L'investissement doit être certes rentable, mais il doit l'être suffisamment compte tenu des risques pris par les apporteurs de fonds : actionnaires et banques.
Il existe d'autres critères de choix que celui de la création de valeur pour les actionnaires ; par exemple la flexibilité c'est-à-dire que lorsqu'on investi, il faut essayer de se poser la question des possibilités de désinvestissements. Mais il peut y avoir aussi le développement durable, l'image que l'on veut donner…
[...] Il s'agit d'opérations de cession par entreprise de ses biens immobiliers ou de ses biens d'équipement à une société de crédit-bail qui lui en laisse la jouissance sur la base d'un contrat de crédit-bail prévoyant les conditions du rachat. Ce genre d'opération est utilisé souvent par les entreprises en difficulté ou par les entreprises souhaitant externaliser leur mur pour se concentrer sur leur métier. -Du point de vue financier, le crédit-bail est parfaitement assimilable à une opération financée par emprunt ; en effet, l'entreprise dispose du matériel comme si elle l'avait elle-même achetée. Par ailleurs elle supporte périodiquement des décaissements somme si elle avait emprunté le montant nécessaire à l'acquisition du bien. [...]
[...] -Dans les montages complexes, une banque est souvent tête de file d'un consortium de plusieurs banques finançant l'entreprise. -Le cout d'un emprunt classique est le taux actuariel de la série de flux associés à l'emprunt. Il faut tenir compte du fait que les intérêts sont déductibles fiscalement par les entreprises, de même que les divers frais liés à l'emprunt. En l'absence de frais, le taux actuariel est égal au taux nominal d'intérêts multiplié par (1-taux d'IS). Ce calcul du coût de l'emprunt par le taux actuariel est valable à l'émission de l'emprunt. [...]
[...] L'indice de probabilité, IP : L'indice de probabilité IP est utilisé en complément de la VAN lorsque l'on compare deux projets de tailles différentes. En effet, le calcul de la VAN peut être biaisé car le projet de grande taille doit présenter théoriquement, toute chose égale par ailleurs, une VAN plus élevée qu'un projet de moindre taille. Pour corriger ce biais, on calcul l'indice de profitabilité. L'IP ramène la somme actualisée des flux futurs au montant initial investi. Il permet de savoir combien d'euros sont dégagés pour un euro investi. [...]
[...] Quelle est la VA de ces versements. Autrement dit, que faudrait-il placer en début de période pour être équivalent à ces placements ? VA = 500 * 1.03 / 0.03 = 2290 euros On peut vérifier grâce a la valeur finale : VF = 500 * ( 1.03 / 0.03 = 2655 = 2290* 1.035 Les taux périodiques : -Les taux d'intérêt proposés actuellement par les banquiers peuvent être annuels, mais aussi semestriels, mensuels -Lorsque l'on est n intérêts simples, notamment pour des périodes inférieures à l'année, on parle de taux périodiques proportionnels. [...]
[...] Ce critère de création de valeur pour l'actionnaire est le critère principal pour la bonne prise de décisions. Par exemple, concernant le choix d'investissements, sélectionner les plus rentables n'est pas un critère suffisant. L'investissement doit être certes rentable, mais il doit l'être suffisamment compte tenu des risques pris par les apporteurs de fonds : actionnaires et banques. Il existe d'autres critères de choix que celui de la création de valeur pour les actionnaires ; par exemple la flexibilité c'est-à-dire que lorsqu'on investi, il faut essayer de se poser la question des possibilités de désinvestissements. [...]
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