L'objectif du financier est de créer des richesses c'est-à-dire de gagner de l'argent. Dans cet objectif, quand un financier doit choisir un investissement il utilise le modèle de la VAN. C'est son outil de décision.
Le modèle de la VAN c'est la méthode des flux futurs actualisés, le modèle DCF (Discounted Cash Flow). C'est une méthode d'évaluation des actifs sur la base sur les Cash flow futurs actualisés. On entend par actif les immobilisations. On évalue un projet d'investissement grâce à la VAN à partir de sa capacité à générer du cash dans le futur. C'est le seul critère qui permet de maximiser la richesse des actionnaires.
Sur le plan économique, la VAN c'est un montant net que va rapporter le projet envisagé. C'est la trésorerie nette que doit générer l'actif économique.
La VAN, c'est la rentabilité nette de l'investissement, C'est-à-dire nette des investissements réalisés, nette de la rémunération minimale exigée par les bailleurs de fonds, on a pris en compte le taux d'actualisation des flux futurs attendus.
[...] risques = identiques ? Ecart entre les deux projets est faible flux constant ( hypothèse faible Flexibilité de la sous-traitance à internalisation de l'activité Sur 4 ans : sous-traitance permet de raisonner sur : - LT - MT (Constant) - CT On a fait l'hypothèse qu'il n'y aura pas de ( de BFR ( largement critiquable car on a peut-être des délais fournisseurs actuellement, si on internalise, on ne les aura plus. Q2 : budget nécessaire à partir duquel l'E doit opter pr l'investissement. [...]
[...] Pour mesurer la volatilité du marché on utilise l'écart type. - Le risque spécifique, ce sont toutes les variables propres à l'entreprise. (risque politique, le risque de change). On l'appelle aussi le risque diversifiable ou résiduel. Souvent on n'en tient pas compte car on parle du principe qu'il peut être évité. Pour calculer le risque d'un projet on ne va intégrer que le risque de marché. Si je sous-estime le risque, je surévalue la VAN Les facteurs explicatifs du risque économique. [...]
[...] Elle nous dit qu'à rendement identique, le risque est plus faible grâce à la diversification (théorie suisse). Ce principe a été validé empiriquement à l'international par des Américains qui nous disent qu'à risque identique, un portefeuille monde permet à moyen terme de gagner plus. ( Il vaut donc mieux investir globalement. Ce phénomène n'est pas une anomalie, on suppose que les marchés financiers covarient faiblement entre eux. Transposition de la théorie à la finance d'entreprise. Si on suit la théorie de la firme qui investit à l'étranger. [...]
[...] Soit Var(rm) = pro * Calculer les écarts à la moyenne du titre(ri Eri) Mesurer le lien entre rm et ri c'est la covariance : Cov(rm,ri) = Erm)*(ri-Eri)*prob] Pour finir on calcul βcp = cov(rm,ri)/var(rm) Sur le plan économique le βcp c'est la sensibilité du titre aux variations du marché. Quand le marché bouge de on a la variation du titre en conséquence grâce au βcp. C'est donc une mesure de sensibilité des fluctuations CFO aux fluctuations de la conjoncture économique. Si β = 1 le risque de mon entreprise est le même que celui du marché. [...]
[...] Choix d'investissement Quand la VAN>0 on investit dans le projet. Quand la VAN La Variation de VAN est positive = et donc je retiens le projet B. Calcul d'un prix de vente minimum. Le but ici est de montrer que l'entreprise est performante en terme de rentabilité, mais aussi d'être compétitive. Il faut calculer le prix de vente au-dessous duquel l'investissement n'est plus rentable. Prix actuel = Si je pratique ce prix de vente, l'achat de la machine B est judicieux du fait que ma VAN est positive. [...]
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