analyse financière, diagnostic financier, compte de résultat, bilan, indice, valeur indiciaire, marge commerciale, procuction, frais, stock, consommateurs, valeur ajouté, économie, macro économie
Disons-le immédiatement, pour faire l'analyse d'une société, il convient d'obtenir les bilans et comptes de résultat de plusieurs exercices. En effet, une valeur absolue ou relative ne donne, en soi, aucune information. Pour que nous puissions interpréter un chiffre, nous devons pouvoir le comparer aux valeurs obtenues les années précédentes. Nous pourrons ainsi étudier les évolutions. Aussi, recueillir les informations de trois exercices consécutifs est un minimum; il nous semble préférable d'obtenir cinq exercices.
Toute analyse doit pouvoir se faire selon deux axes :
1 - dans le temps; il s'agit, comme nous venons de le dire, de suivre les évolutions d'année en année afin de connaître les facteurs favorables ou défavorables et de déterminer les axes de progrès.
2 - dans l'espace; il s'agit là de comparer, par exemple, les résultats enregistrés selon les régions, les pays, les continents… ainsi que ceux obtenus pas les entreprises concurrentes. S'il est important de suivre l'évolution des résultats d'une entreprise, ce n'est pourtant pas suffisant. En effet, une bonne analyse doit permettre de positionner l'entreprise sur son marché. Encore faut-il connaître les chiffres de ce dernier, savoir comment ils évoluent.
[...] Dans le schéma ci-dessus, le choix est fait d'analyser les composantes par rapport au total de la production. La production totale correspond à la somme de la production vendue (chiffre d'affaires), de la production stockée (variation des stocks de produits en-cours et de produits finis), de la production immobilisée (ce que l'entreprise a produit et conservé pour elle même). Ce total est remplacé par la valeur 100. Il est ainsi possible de calculer le poids relatif des trois composantes de la production par rapport à ce total. [...]
[...] Lorsqu'une entreprise se développe, elle doit investir. Comment ? En étant propriétaire ou locataire de ses biens d'équipement ? Le financement sera-t-il assuré par des capitaux propres ou empruntés et dans quelle proportion ? Et nous avons vu les conséquences des politiques d'approvisionnement, de production, de commercialisation etc. sur les besoins en fonds de roulement A partir du schéma ci-dessus, vous pouvez vous entraîner à étudier les conséquences sur la trésorerie selon diverses hypothèses que vous pouvez imaginer. Par exemple : F.R.N.G positif et B.F.R. [...]
[...] Les écarts se creusent entre pays riches et pays pauvres. Est-ce acceptable ? Comment pouvons-nous condamner les personnes mourant de faim qui tentent leur chance en venant "ramasser les miettes" des pays développés. Savons-nous que les grandes nations se sont engagées, dès 1970, à budgéter de leur PNB à l'aide publique au développement. Seuls les pays scandinaves ont dépassé l'objectif des La France, dont le PIB ne cesse de croître, n'a consacré en 2000 que de son PNB. Force est de constater que notre aide diminue alors que nos richesses s'accroissent. [...]
[...] Mieux encore, il serait souhaitable que, par son activité, l'entreprise génère un excédent de ressources à court terme sur ses actifs cycliques < number > FACTEURS DE VARIATION DU F.R.N.G < number > F.R.N.G. Fonds propres Comptes courants "bloqués" Bénéfices non distribués Nouvx. emprunts L.M.T. Immobilisations c.a.d. (désinvestissements) Dot. aux amortissements qui réduisent les Immos. F.R.N.G. Pertes de l'exercice Prélèvements C.C.A. Distribution de dividendes Nouveaux Investissements FACTEURS DE VARIATION DE F.R.N.G. Nous avons vu qu'il était préférable, pour avoir une certaine sécurité, de constater un F.R.N.G. positif. Par ailleurs, il faut en suivre l'évolution. [...]
[...] Il s'agit en effet de l'importance du montant des dividendes. Les dividendes, qui donneront bien lieu à une sortie de trésorerie, sont bien une part des résultats qui ne restera pas au sein de l'entreprise et qui, par voie de conséquence, ne permettra pas d'autofinancer ses investissements. Nous prenons conscience du dilemme des dirigeants pris entre le choix de faire face aux nécessités du financement de la croissance et celui de satisfaire les aspirations des associés, en leur servant des dividendes, afin de pouvoir compter sur leur concours le jour où le besoin s'en ferait sentir pour une augmentation de capital par exemple < number > CALCUL DE AUTOFINANCEMENT < number > CAPACITE AUTOFINANCEMENT - DIVIDENDES = AUTOFINANCEMENT DE LA CAPACITE AUTOFINANCEMENT A AUTOFINANCEMENT La détermination de l'autofinancement est donc simple. [...]
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