Investir en obligations, pays développés, pays émergents, crise économique, crise de la dette, Standard and Poor's, taux de défaut, marché d'obligations, taux de croissance, politique budgétaire, union monétaire, zone euro
Depuis quinze ans, les marchés émergents ont bénéficié de nombreuses améliorations macroéconomiques et, de ce fait, sont devenus plus attractifs pour les investisseurs. Nombreux sont les pays émergents qui voient leur note augmenter, tandis que celle des pays développés n'a de cesse de diminuer. Depuis le début de l'année, les marchés émergents ont encore conservé leur avance sur les marchés européens, qui sortent difficilement de la crise économique.
[...] C'est pourquoi nombreux sont les économistes qui pensent qu'à terme, les pays en développement surpasseront probablement les pays développés d'aujourd'hui. Conclusion En 2013, pour un investisseur européen, il reste préférable d'acheter de la dette émergente plutôt que des obligations des pays développés. Le marché de la dette émergente continue à s'étendre, les flux d'investissement mondiaux vers les fonds spécialisés dans les obligations des marchés émergents ont dépassé les 50 milliards de dollars US en juillet 2012. En outre, les prévisions de croissances du PIB des pays émergents sont plus favorables que celles du PIB des pays développés. [...]
[...] La résistance des économies émergentes face à la crise qui affecte beaucoup plus largement les pays développés incite considérablement les investisseurs à acheter de la dette émergente. À long terme, les économies émergentes présenteront plus d'avantages que les pays développés. III. Les obligations des pays développés restent attractives, mais soulèvent des interrogations Investir dans les pays émergents présente, de façon générale, davantage de risques que d'investir dans les pays développés. Ceci est principalement dû à la forte volatilité des prix et aux pratiques réglementaires, parfois moins rigoureuses, que dans les marchés développés. [...]
[...] Investir en obligations des pays développés ou préférer celles des pays émergents ? I. Les faits ➢ Depuis quinze ans, les marchés émergents ont bénéficié de nombreuses améliorations macroéconomiques et, de ce fait, sont devenus plus attractifs pour les investisseurs. ➢ Nombreux sont les pays émergents qui voient leur note augmenter, tandis que celle des pays développés n'a de cesse de diminuer. ➢ Depuis le début de l'année, les marchés émergents ont encore conservé leur avance sur les marchés européens, qui sortent difficilement de la crise économique. [...]
[...] De plus, les états dits développés sont fortement touchés par la crise économique. Les taux longs sont faibles et donc les rendements des obligations d'états sont peu élevés. Dans l'immédiat, l'année à venir semble un peu plus propice aux investissements que les années précédentes. Aux États-Unis, l'emploi se stabilise, le marché de l'immobilier retrouve de la vivacité. En zone euro, l'union monétaire avance vers l'harmonisation des politiques budgétaires ainsi qu'une supervision bancaire commune. La politique d'austérité, mise en place par un grand nombre de pays (la France, l'Espagne ou l'Italie) est une condition pour retrouver les performances obligataires d'autrefois. [...]
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