Ce document est un cours d'investissement et financement, avec le calcul actuariel (valeur actuelle ou future), la prise de décision d'un investissement grâce à l'espérance de rentabilité et le risque (VAN, TIR). Il est également abordé le choix d'un projet plutôt qu'un autre et s'il doit être entrepris (flux d'exploitation, et d'investissement), mais aussi comment on construit un plan de financement. Il sera abordé le coût de financement par fonds propres, emprunts, MEDAF, crédit bail. La politique des dividendes sera également traitée.
[...] Si l'actionnaire revend l'action au bout d'un an au prix P1 : P0 = Si on verse un dividende constant alors on peut revendre l'action au prix P0 : Ka = D/P0 Si l'entreprise verse un dividende croissant au taux g : Ka = (D1/P0) P0 = D1 / Limites du modèle de Gordon Shapiro : (Problème des études longitudinales (sur plusieurs années) en finance. o Lorsqu'on travaille sur le LT, l'entreprise change. Le taux de rentabilité exigé par l'actionnaire est fonction du risque de l'entreprise (MEDAF) et de la politique d'investissement, donc il n'est pas forcément constant. [...]
[...] Po = PER 31/12 = 41,2/8 = 5,15 La valeur relative entre le prix et les dividendes est de 5,15. Ks = 1/PER = 1/5,15 = 19% ( Exor et SG sont comparables donc Ks = Ks (Exor) = 19%. Valeur de marché (Exor) = Vm (Exor) = / 0,19 = 10,53 Il est également possible de déterminer la valeur de marché d'Exor en appliquant un prorata fondé sur les résultats : Vm (Exor) = Vm x bénéfice exor/bénéfice SG Le coût des emprunts 1 Le taux actuariel des emprunts Déterminer les montants que l'entreprise sera amenée à décaisser ou encaisser pendant toute la durée de vie de l'emprunt. [...]
[...] Le cas de la contradiction entre VAN et TRI : En fonction du taux d'actualisation, la VAN d'un projet A peut croiser celle du projet dans ce cas, il peut avoir contradiction entre la VAN et le TRI de plusieurs projets. Exemple : VAN(A)>VAN(B), mais TRI(B)>TRI(A). Dans ce cas là, il faut préférer la VAN qui mesure l'enrichissement net. VAN A VAN B 3 Le calcul des flux o Uniquement des flux de trésorerie Il faut prendre en compte les flux de trésorerie effectifs seulement. [...]
[...] o Uniquement des flux d'exploitation Principe de séparation entre décisions d'investissement et de financement. Donc on ne prend pas en compte les flux de financement. o Des flux nets d'impôt Les pratiques qui permettent d'économiser de l'impôt doivent être inscrites comme celles sur les DAP lors de l'acquisition d'une immobilisation. o Un raisonnement en flux marginaux Les flux doivent être la différence entre ceux que l'entreprise supporte en cas d'investissement et ceux en cas d'absence d'investissement. Les flux d'investissement ( Coût d'acquisition valeur éventuelle de la revente d'un ancien appareil), frais d'installation, économies d'impôts liées aux DAP, accroissement du BFR lié à l'augmentation de l'activité (récupération à la fin du projet). [...]
[...] Aujourd'hui j'ai un bien financé par crédit-bail. De toute manière nous n'avions pas le droit à des économies d'IS sur DAP donc si nous ne les avions pas, nous ne les perdons Il est donc intéressant de sortir du crédit-bail si l'hypothèse pessimiste se réalise. En T1, si EBE faut-il sortir du crédit-bail? Les deux flux sont négatifs donc il faut rester jusqu'au bout engagé. Avec cet avantage de flexibilité, même si c'est plus coûteux, ne serait- il pas mieux de s'engager sur le crédit-bail? [...]
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