On conçoit aisément que les objectifs rencontrés dans la réalité, sans compter tous ceux que l'imagination pourrait produire, sont très variés et il n'est pas possible d'en fournir une liste exhaustive.
Ainsi, du côté des vendeurs on peut souligner plus particulièrement deux intentions :
- la cession d'une participation majoritaire ou significative d'un propriétaire dirigeant. Dans ce cas, on peut être conduit à tenir compte des flux de revenus tirés de l'affaire et qui pourraient être conservés s'il n'y a avait pas de cession. Le vendeur peut rechercher ainsi, dans une petite entreprise personnelle, un véritable "capital-retraite".
- la cession d'une participation minoritaire par un actionnaire qui ne participe pas à la gestion. Il faut alors tenir compte des flux de dividendes qu'il aurait pu escompter. C'est aussi le moment pour lui de réaliser éventuellement une plus-value en capital. La possibilité d'obtenir une "sortie" et de diversifier ensuite son portefeuille constitue un avantage.
Il peut exister des cas plus critiques, tel celui d'un actionnaire dirigeant cherchant à se retirer d'une situation fâcheuse, tout en évitant le dépôt de bilan. La crainte d'un gouffre à venir et la volonté de conserver une réputation sont des éléments non négligeables.
Du côté des acheteurs, on peut imaginer plusieurs perspectives :
- la volonté d'acquérir un outil industriel. L'avantage d'acheter directement une usine est de pouvoir l'exploiter immédiatement. Sinon, il faudrait réaliser l'investissement et attendre sa mise en fonctionnement. Les coûts d'achat s'ajouteraient aux coûts liés aux délais d'ajustement (...)
[...] A-t-elle des opérations d'exploitation profitables ? Quel est le poids des charges financières ? Quel est le rendement comptable de ses investissements ? Les trois concepts précédents indiquent que nous donnons au diagnostic financier une direction par objectifs Cette thématique est dangereuse cependant. En effet, une telle approche, assurément classique et confortable sur le plan pédagogique, risque de focaliser l'attention sur chacun des concepts clefs en omettant que l'entreprise est un tout économique et financier. Ici, dans ce cours, nous préférons une lecture plus dynamique, organisée autour d'un triangle dont la figure 1.2 se fait l'écho. [...]
[...] A company has an EBIT of 10 Million in perpetuity. If this company finances all its activities with equity, then the required return on equity is 16%. The risk-free interest rate is 10%. Assume perfect capital markets. If the company's activities are 100% equity financed, calculate: -the cost of capital -the value of equity -the total value of this company. If the company's activities are only 50% equity financed, what's: -the required return on equity -the cost of capital La société AT121 produit des modems à hauts débits. [...]
[...] (Nous reviendrons sur cette notion plus tard). Ainsi, PER = cours de l'action / bénéfice par action En définissant ainsi le PER, dans le modèle de Bates, chacun des deux ratios se déduit de l'autre. En remplaçant V0 par la notion PER actuel de la société, et Vn par celui attendu dans les années à venir lorsque la société aura retrouvé des niveaux de croissance comparables au secteur, on obtient un modèle réversible. Inversement, le modèle de Bates donne la valeur actuelle du titre à partir de son PER futur. [...]
[...] Le diagnostic de l'évaluateur portera, en dehors des contrats de travail (cf. diagnostic humain), sur : -les contrats de location et notamment, le bail de l'entreprise ; -les contrats d'assurances ; -les contrats conclus avec les clients, fournisseurs, sous-traitants et, notamment, leurs conditions de résiliation ou de renégociation ; -la réglementation de l'activité ; -le recensement des cautions et garanties données par l'entreprise et par le dirigeant afin de prévoir leur substitution pour quels montants, quelle est la durée et l'étendue des engagements pris ? [...]
[...] *Ensuite, il faut s'assurer que les rémunérations ne comportent pas d'éléments exceptionnels importants comme des primes de licenciements. Par ailleurs, mais, c'est une véritable tarte à la crème il faut, dans le cas d'une petite entreprise, retrancher la part du salaire du dirigeant qui a un aspect de rémunération du capital. *Par ailleurs, les dotations aux amortissements sont souvent dénuées de significations au plan économique. Elles ont été calculées en fonction de règles fiscales et non de la dépréciation réelle. [...]
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