Environnement du risque de crédit, risques bancaires et financiers, Bâle II, niveau de pertes acceptable, défaut de remboursement
Mutations principales dans le secteur bancaire :
- Rôle croissant des marchés financiers dans système financier international
- Nouvelles techniques quantitatives de management des risques
- Réglementation bancaire en changement = Bâle 2
Gestion des risques bancaires et financiers + sophistiquée :
- Produits plain vanilla sont peu rentables et produits complexes ont des marges élevées
- Transparence = publication de chiffres pour synthétiser l'état des risques
- Recherche des gains de prod avec maîtrise des RH
[...] Classification des expositions (emprunteurs souverains, banques, entreprises, petite clientèle ou banques de détail, financements de projets, actions, ) Pour chaque classe, la banque fournit les composantes de risque Elle fait 1 fonction du risque pondéré RW pour calculer le montant des actifs pondérés du risque RWA Respect de certaines critères vérifié par 1 processus de supervision. p = PD pour 1 horizon d'1an l = LGD m = M e = EAD K = exigence de fonds propres normalisée (pour 1 exposition d'1euro) ( = corrélation endogène RWA = 12,5.e.K ( = 0,12. [ ] + 0,24. [ } K = { + / 1,5.b(p)] } x - + [ (-1(0,999). / ] lp} = infini . [...]
[...] exp-0,5 . du = fonction de répartition de la N(0 = [ 0,11582 0,05478. ln(p) ] La banque estime p = PD mais utilise les valeurs prudentielles pour e = EAD, l = LGD et m = M PD = proba de défaillance annuelle de la notation interne. Pour les corporate ou les banques = plancher de Pas de plancher pour 1 souverain. LGD = l = pour les créances de 1er rang sans sûreté et pour les créances subordonnées. [...]
[...] Surveillance prudentielle consolidée au niveau du groupe mais aussi au niveau local. Le régulateur doit : Evaluer la gouvernance interne globale mais aussi le processus qui vise à 1 dimensionnement du capital à mettre en face des risques Consulter et coordonner l'action des régulateurs locaux et des différents niveaux de supervision Méthodologie générale d'évaluation du risque de crédit I / risque de crédit Risque de défaut de remboursement Risque de contrepartie = sur marchés financiers et interbancaires = évalué par des primes de risque (spread) = traduction en termes monétaires la vraisemblance de la réalisation du risque de non remboursement. [...]
[...] Pour les standards = R a 1 dispersion faible donc on les considère comme fixes pour chaque catégorie de garantie. Approche IRB simple : R = 50% ou 25% selon la nature du crédit. Modèle DM : évaluation des instruments de crédit en début et fin d'horizon temporel faite à partir de la valeur faciale du crédit ou d'1 équivalent crédit pour les crédits qui comportent des éléments optionnels. Modèle MtM : évaluation en fonction de l'évolution de la qualité des emprunteurs. Evaluation des flux contractuels à la valeur de marché des actifs. [...]
[...] max { 0 ; + dE)E dG dfx)G } r = RW = pondération du risque de contrepartie E = montant de l'exposition G = montant de la sûreté dE = décôte liée à la volatilité de E dG = décôte liée à la volatilité de G dfx = décôte liée à la volatilité du risque de change au cas où G est dans 1 autre devise que E Quand TG (maturité de ( TE alors au lieu de G on utilise Ga : Ga = G . [min { min ; TG) ; TE } 0,25 ] / [min ; TE) 0,25 ] Approche FIRB : On laisse à la banque l'estimation des composantes internes du risque dans la détermination de l'exigence en capital pour 1 exposition donnée. Méthode + sensible et fédérative. Modèle externe avec des paramètres internes. [...]
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