Établissement de crédit, trésor public, CMF Code monétaire et financier, assurance, sécurité sociale, fonds de pension, intermédiaire financier, marché du crédit, marché bancaire, système financier, endettement, groupe bancaire, risque de défaut, solvabilité, compte d'exploitation, compte de résultat
Jusqu'en 1941 il n'y avait pas de réglementation bancaire. Avant cette date, le cadre juridique auquel se pliait le crédit lyonnais était le même que celui de Peugeot. On ne tenait pas compte des différences d'activité.
En 1941, les banques sont soumises à un cadre réglementaire spécifique (on avait auparavant trois banques commerciales). Le but pour ces banques était de faire du profit, comme les autres entreprises.
On avait BNP, CRÉDIT LYONNAIS, et SOCIÉTÉ GÉNÉRALE.
Il y avait aussi des sociétés financières, c'étaient des sociétés spécialisées dans les opérations de crédit.
En 1941, on établit une barrière à l'entrée du marché bancaire. Pour exercer l'activité de banque, il fallait déposer un dossier. La loi définit donc un monopole. Les banques inscrites peuvent exercer leurs activités sans être gênées par un concurrent qui viendrait de l'extérieur.
[...] Définition : Les établissements de crédit sont des personnes morales qui effectuent à titre de profession habituelle des opérations de banque au sens de l'article L-331-1, (article L-551-1). Les opérations de banque comprennent la réception des fonds du public, les opérations de crédit, ainsi que les services bancaires de paiement, (article L-311-1). Il y a une interdiction à tous les établissements qui ne sont pas des établissements de crédit à faire des opérations de banque. Par exemple, Carrefour n'est pas agrée comme établissement de crédit, donc ce magasin ne pas faire des opérations de banque. Il fait appel à des établissements agrées. [...]
[...] Dans la crise des SUBPRIME l'une des plus grosses faillites était la faillite d'une assurance-crédit. En France l'Etat favorisait une assurance du crédit à l'exportation. Les banques peuvent se couvrir du risque de défaut en payant l'assurance. Il y a aussi les dérivées de crédit pour se protéger du risque de défaut. Pendant les SUBPRIME s'est souvent des sociétés d'assurances et des banques d'affaire qui ont couverts les risques de crédit SUBPRIME. Section 4 : Ratio de solvabilité C'est la règlementation la plus connue. [...]
[...] Un groupe bancaire est un groupe financier qui fait tous les métiers de la finance. L'exception de la finance française est AXA. La différence par rapport à la BPCE c'est qu'au centre on a une assurance. Le modèle de la France est le modèle de l'Europe du Sud. Dans le tableau 1 le montant des actifs financiers en 2000 détenu par les français représente 9,53 fois le PIB de France. L'accumulation des résidents en France correspond à accumuler 9,5 années de production en France. [...]
[...] Si au bout de l'échéance le capital n'est pas remboursé et aucun intérêt n'est payé le crédit ne vaut plus rien. Mais les ressources sont rémunérées. Donc le PNB= -100 euros et en ajoutant les intérêts on est à -102. Dans le premier cas on a un gain modeste. Dans le second cas les pertes sont importantes. C'est la dissymétrie. Il faut 34 crédit où on gagne 3 euros et un crédit qui se passe mal où on perd 102 euros pour être à l'équilibre. [...]
[...] Si on est en économie fermé les 1,3 euros sont partis chez les banques mutualistes. Ce déséquilibre sur le compte clientèle se retrouve à l'envers sur le marché interbancaire. En effet, on le voit sur la seconde ligne. Les banques AFB empruntent aux banques mutualistes. La part de marché des banques mutualistes sur les dépôts est plus importante que les banques AFB. Le deuxième tableau (hors bilan et taille) Le bilan passe de 678 milliards d'euros à 2353 milliards d'euros de 1984 à 2002. [...]
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