investissements, financements, système financier, échanges économiques, entreprise
Contraire de dilution du capital : relution.
Amortissement : constatation de la perte comptable de la valeur d'un bien avec le temps. C'est une aide fiscale à l'investissement.
Le marché est le lieu de rencontre de l'offre et de la demande qui permet de fixer un prix. Le rôle du marché est de mettre en relation les agents économiques excédentaires et déficitaires.
Entrer en relation directe avec le marché : IPO (Introdution en Bourse), émission obligataires.
Entrer en relation indirecte avec le marché : on passe par un intermédiaire financier, souvent la banque, qui achète des matières premières (argent) et les revend.
La BC crée la monnaie sous toutes ses formes : scripturales, fiduciaires (monnaie de confiance), divisionnaires.
Lorsque l'on passe à un niveau d'échanges économiques plus élevé (au-dessus du troc), on a recours à un intermédiaire qu'est la monnaie.
[...] Le comportement de hedger est un comportement naturel humain sain. N'importe quel hedger va chercher à mesurer les risques. Pour tout projet on devra s'assurer de sa rentabilité et cela intrinsèquement (TRI). Le hedger vérifie qu'un projet reste encore rentable sous facteurs de charges, de risques, de contraintes.Ce comportement peut conduire à couvrir un risque par un risque annulé. Deuxième comportement type la spéculation. C'est l'acceptation totale du risque et le fait d'en faire une opportunité. Notion beaucoup plus irrationnelle : risque = opportunité. [...]
[...] A partir de ce taux, l'investissement commence à être rentable. Projet : 160k€ HT ( amortissement linéaire 5 ans. Charges fixes hors amortissement : I.S = 33,33% Calculez les flux de trésorerie de cet investissement. = 941 16/10 Dans le cas où toute l'entreprise est en déficit, ou se situe sa rentabilité ? On peut se tourner vers le modèle SPG (Surplus de Productivité Global). On fait une analyse de destruction ou de création de gain par facteur. On regarde d'abord l'évolution des quantités, puis les prix de vente. [...]
[...] C'est en général analysé comme une plus- value ; La VNC est la différence entre la valeur marché et la valeur de l'actif. Elle est fonction du temps. Les flux nets de trésorerie générés (cashflows ; excédents de trésorerie). Ce sont les produits encaissables moins les charges décaissables. Les flux de trésorerie sont décaissés en fin de périodes. Seuls les éléments d'exploitation sont pris en compte (sauf valeur résiduelle). Lorsqu'on calcule la rentabilité d'un projet, on ne prend pas en compte les coûts financiers car ce n'est pas ce que l'on cherche. [...]
[...] Le cas des investissements de remplacement Le double problème qui va se poser va être : Le prix de cession La survaleur d l'investissement de remplacement. Récupération du prix de cession en sortie de model Il subsiste une énorme incertitude sur la valeur de revente. Le modèle est sensible à la valeur de revente. ( De combien ? (taux d'élasticité). Taux d'élasticité : ,,∆-.-,∆- . = 3 %.=3,33 A 3,33, la marge de manœuvre est faible. Le taux d'élasticité indique le lien entre les deux éléments. [...]
[...] Les différents marchés Le marché des capitaux est généralement divisé en marché monétaire et marché financier. Le marché monétaire est le marché des capitaux à CT (moins d'1 an). Il est découpé en 2 compartiments : Le marché interbancaire Le marché des TCN (Titre émis au gré de l'émetteur, négociable sur un marché réglementé et qui représente un droit de créance sur une durée déterminée). Le marché financier est le marché des capitaux à MT / LT (plus d'1an). Sur ce marché se négocient des instruments financiers (les titres (actions, obligation, warrant, trackers ) et les dérivés (fermes et optionnels)). [...]
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