D'une part, la construction européenne a été un élément déterminant de la transformation, notamment par les règles de libre concurrence entraînant l'ouverture du marché français à la concurrence européenne, et à la privatisation du secteur bancaire. D'autre part, la mondialisation a consacré le poids dominant des marchés financiers avec le développement de nouvelles formes de spéculations boursières. Les banques françaises ont donc dû s'adapter à leur environnement et se positionner sur le marché international.
Dans le cadre d'une recherche accrue de rentabilité, les banques françaises ont modifié la gestion de leurs réseaux en privilégiant une approche commerciale et ont développé les métiers d'expertise dans différents domaines : la gestion de patrimoine, les financements de projets... En effet, les établissements bancaires sont devenus de véritables entreprises commerciales avec une recherche de rentabilité, ce qui a modifié le rapport à la clientèle. Les banques n'offrent plus seulement un service (opérations courantes de guichet) mais fonctionnent avec des objectifs commerciaux (...)
[...] De ce fait la CAF est nettement supérieure au résultat ( et représente 41% du CA. Observations sur la ligne : De décembre 2003 à novembre 2004, le nombre de jours d'anomalie est de 107 j. Sur cette même période, le nombre de jours où le compte était créditeur était de 131j. La DP05 indique un solde moyen de - 53 pour un solde minimum de - Point positif : le montant des opérations débitrices est inférieur au montant des opérations créditrices également le compte repasse régulièrement en positif. [...]
[...] Si motif valable, le montage du dossier requiert l'accord du Directeur des Engagements. oui non Champs d'intervention exclus du réseau oui Un seul critère d'exclusion suffit non Total Encours > 400 KEur ou Encours trésorerie > 100 KEur ou Encours escompte > 200KEur ou de 2 mois de chiffre d'affaires Un seul encours supérieur aux seuils fixés suffit oui non Un seul oui entraîne une délégation siège Concours sollicité > 200 KEur oui non Garanties non conformes à la grille, par rapport à la durée du financement et du niveau de risque Dérogation possible DA/DCP sous conditions oui non Délégation réseau Délégation Siège Subdélègue Jusqu'à 75% Subdélègue Jusqu'à 100% Conseillers de Clientèle Professionnelle Directeur Clientèle Professionnelle Directeur Agence Montant d'irrégularité Nombre de jours d'irrégularités 40 j Jusqu'à 10Keur d'irrégularités Nombre de jours d'irrégularités Jusqu'à 2Keur d'irrégularités Montant d'irrégularité 20 j Montant d'irrégularité Délégation pour le traitement sur DECSUS (dossiers non consolidés) Irrégularités [...]
[...] Ces deux étapes ont le même but : minimiser le risque de non-remboursement. Dans ces deux étapes, la note de contrepartie assure un rôle déterminant et est un réel outil d'aide à la décision. Pourtant l'attribution d'une note suffit-elle à quantifier un risque lié au financement d'une entreprise? Différentes entreprises se retrouvent avec une même cotation mais ne présentent pas le même risque, de part leur secteur différent, leur taille (effectif et chiffre d'affaires) différente, leur gérance différente De plus, le taux d'intérêt devient fonction de la qualité de l'entreprise, qualité retranscrite par la note de contrepartie. [...]
[...] C'est une ligne dite de mobilisation du poste client : en effet les professionnels qui accordent des délais de paiement à leur clientèle, détiennent en contrepartie des effets de commerce, ce qui représente pour eux un manque de trésorerie durant le délai de règlement accordé. La mobilisation du poste client, permet tout en accordant un délai de règlement à ses clients, de disposer du montant de l'effet sans devoir attendre la date d'échéance. L'escompte est une technique de financement saine, car elle repose sur une contrepartie réelle : la vente de marchandises ou de service. [...]
[...] Il est réalisé par le logiciel Anadefi, ce qui implique que la liasse fiscale soit saisie dans le logiciel. Le score, quant à lui détermine un niveau de risque lié au comportement bancaire et au projet à financer. ( On obtient la note comptable (Anadefi) et la note bancaire (score) qui sont les deux composantes de la note de contrepartie. On obtient alors une note finale qui détermine une classe de risque parmi trois grades : risque élevé, moyen ou faible. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture