Les agents non financiers sont tous les agents (entreprise, ménage et Etat) sauf les banques.
Les agents financiers sont des agents faisant le lien entre les acheteurs et les demandeurs de capitaux. On présente ce comportement d'un point de vue traditionnel en montrant leur aspect économique. L'Etat va monter ses aspects habituels.
[...] Il y a en même temps diminution des dépenses et notamment des prestations sociales. Plus le revenu augmente plus le revenu nationale augmente et plus les recettes de l'Etat augmente. On parle d effet stabilisateurs automatiques dans la mesure où le déficit public évolue en phase avec la conjoncture économique alors cela créé un effet de relance en période d'expansion (mécanisme keynésien car la déficit public a un effet de relance via l'effet multiplicateur) mais aussi un effet limitateur de croissance en période de récession. [...]
[...] L'ajustement des capacités et des besoins de financement Section I. L'ajustement quantitatif Equilibre épargne investissement dans la théorie économique On passe au niveau global mais on s'intéresse au niveau macroéconomique global. A ce niveau, on arrive à un équilibre entre les capacités et les besoins de financements. Il y a nécessairement égalité entre l'épargne et l'investissement. Toute production est égale au revenu. Y (la production)= C (consommation) (investissement). Y (la production) = C (consommation) + S (épargne). S (épargne) = I (investissement). [...]
[...] L'investissement déterminé par son coût chez les classiques et les néo classiques Ce qui va déterminer le comportement de l'investissement, c'est la rentabilité de l'homme qui est en rapport avec le coût de production. Pour une demande donnée, il est clair que l'offre pourra être rentable si le coût de production est relativement faible si ce n'est pas le coût le coût de production ne sera pas rentable. Chez les néo classique, ils font une approche d'un équilibre partiel qui s'intéresse aux marchés les uns aux autres. L'investissement est vu comme une demande de capital. [...]
[...] L'épargne des ménages Section I. Les déterminants de l'épargne et enjeux macroéconomiques L'opposition traditionnelle entre les classiques et les Keynésiens Les classiques : les taux d'intérêt L'épargne est interprétée comme une renonciation immédiate de consommer. Hypothèse où l'on a une préférence car on préfère consommer maintenant plutôt que demain. On va donc renoncer à la consommation immédiate que si cette épargne est rémunérée. Ils se trouvent des organismes économiques qui sont prêts à payer pour obtenir le revenu des ménages : ce sont les entreprises qui ont besoin de capital pour investir. [...]
[...] La solution est le phénomène migratoire pour rétablir l'équilibre des âges. Les enjeux macroéconomiques des évolutions de l'épargne Ici, contrairement à l'investissement, les conséquences macro économiques de l'épargne sont l'objet de controverses. Il y a une certaine réticence à long terme. Si on se situe dans une perspective de court terme, l'épargne est vue comme un facteur qui va avoir tendance à déprimer la demande. C'est en particulier le cas quand on admet que la monnaie peut suffire à elle-‐même. [...]
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