Il s'agit de démontrer la relation qui existe entre la variation de la quantité demandée et la variation de l'investissement.
Selon Albert Aftalion, les hypothèses pour le raisonnement concernant l'accélérateur d'investissement sont les suivants :
1- Un appareil productif travail à pleine capacité.
2- Il n'y a pas de stock de marchandise dans lequel l'entrepreneur peut puiser.
3- Les prix sont supposés constants.
4- L'amortissement sera linéaire (avec une durée de vie supposée du capital de 10 ans.).
5- Le coefficient de capital est égal à 6 (...)
[...] CONCLUSION : Au fur et à mesure que les sociétés atteignent des stades avancés de développement économique, la main d'œuvre agricole tend à décroître en faveur d'une main d'œuvre industrielle. Il y a donc un déversement de la population active du secteur primaire vers le secteur secondaire, puis vers le secteur tertiaire. IMPORTANT : Les nouvelles technologies de l'information et de la communication sont particulièrement adaptées aux secteurs primaires et secondaires. Toutefois, il est bien de préciser que ces nouvelles technologies pénètrent de plus en plus le secteur tertiaire. [...]
[...] Une entreprise qui emprunte est donc une entreprise qui a des projets d'investissement. Combinaison productive : Il s'agit de l'opération qui consiste à associer une certaine quantité de travail à une certaine quantité de capital pour obtenir une production donnée. Ainsi, un entrepreneur a le choix entre différentes combinaisons productives. Par conséquent, il les facteurs de production sont substituable, un facteur peut en remplacer un autre. Le coût du travail se mesure par le coût salarial. Celui-ci est égal à la masse salariale + les cotisations versées par l'entrepreneur. [...]
[...] Les routiniers ne rentabilisent pas leurs investissements et donc le taux de profits diminue. Les entreprises ne peuvent plus non plus rembourser leurs emprunts bancaires et les innovateurs eux, par contre, remboursent leurs emprunts, ce qui diminue la masse monétaire en circulation. Pour se sortir de cette dépression, de cette récession, certains entrepreneurs vont innover Schumpeter parle alors de grappe d'innovations : une innovation va entraîner d'autres innovations. Dans cette période, le profil va correspondre à la rémunération du risque pris. [...]
[...] Plus le taux des capacités de production augmentent, plus l'entrepreneur devra investir pour répondre à la demande. L'investissement, un facteur de croissance. L'investissement consiste pour un entrepreneur à acheter des biens de production. L'entreprise et les salariés qui produisent les biens de production se partagent des revenus qui à leur tour génèrent une demande à d'autres entreprises. Une entreprise qui investie réalise généralement des gains de productivité qui se traduisent par une baisse des coûts unitaires de production et donc une baisse des prix. [...]
[...] Cours et définitions L'investissement, un mécanisme complexe. L'investissement : Il s'agit d'un flux qui correspond à l'addition de nouveaux biens d'équipement au stock de capital existant en vu d'obtenir des revenus futurs. L'investissement brut aussi appelé FBCF correspond au montant total des investissements de l'entreprise ou d'une économie. La FBCF peut à son tour se subdiviser en deux : FBCF = Amortissement FBCF = Investissement net (FNCF-Formation Nette de Capital fixe) Les investissements immatériels (investissements incorporels ou intellectuels). Ils regroupent les dépenses destinées à améliorer le potentiel productif de l'entreprise. [...]
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