Le logiciel NQI va permettre à Malakoff Mederick de mieux gérer leur projet et mêmes les activités récurrentes de l'entreprise. Cette entreprise a opté pour un accompagnement au changement. L'informatisation va permettre un meilleur pilotage, une meilleure performance dans la gestion des projets.
[...] Au fil de l'évolution du projet les membres de l'équipe auront peut-être consommé toutes les ressources, ou une partie. Le manager peut décider de réévaluer les ressources nécessaires. Il peut récupérer les ressources sur une autre tâche pour les ajouter sur l'activité qui est déficitaire. Il est donc essentiel de pouvoir faire une mise au point régulièrement sur les ressources consommées et celles qui restent. Le logiciel NQI va permettre à Malakoff Mederick de mieux gérer leur projet et mêmes les activités récurrentes de l'entreprise. Cette entreprise a opté pour un accompagnement au changement. [...]
[...] Cette méthode utilise l'affectation de toutes les charges de la comptabilité analytique (charges du bilan) au coût des produits fabriqués. Par exemple affecter « les impôts, taxes et versements assimilés » sur le coût du produit. Les impôts représentent un coût indirect que l'on va répartir dans des « centres d'analyse » ou « centres de répartition ». Les centres d'analyse sont utilisés parce qu'il n'y a pas de lien apparent entre le coût et le produit. On répartir alors un pourcentage du coût sur chaque fonction, subdivision comptable de l'entreprise. Par exemple, l'atelier le magasin, le service appovisionnements. [...]
[...] Par exemple, on examine tous les mois l'évolution de la masse salariale, on fixe des objectifs de limitation » (Savall & Zardet p. 123). « Un coût caché est la conséquence économique d'un dysfonctionnement. Un dysfonctionnement est un écart entre le fonctionnement attendu, dénommé orthofonctionnement, et le fonctionnement réel » (Savall & Zardet p. 40). La gestion budgétaire : décliner la stratégie de manière financière Le budget (comme le tableau de bord) a pour fonction de décliner la stratégie et d'assurer son bon déroulement. [...]
[...] Le logiciel offre la possibilité de mettre en place les KPI (indicateurs clés de performance), c'est-à-dire les cartes stratégiques qui sont mises en avant lors de l'élaboration du « Balanced Scorecard » (Kaplan et Norton, 1992). Le tableau de bord prospectif devient, à l'heure actuelle, le plus utilisé dans les entreprises car c'est le plus complet. « Le centre est la stratégie de l'entreprise qui impacte sur quatre axes : les résultats financiers, les clients, les processus internes et l'apprentissage organisationnel » (Kaplan et Norton, 1992). [...]
[...] Ces outils ne permettent pas un pilotage à long terme (au contraire des budgets et des tableaux de bord), notamment parce que les calculs sont inexacts et que différentes méthodes existent pour les calculer. Par ailleurs, il existe ce que l'on appelle des « coûts cachés » (Savall & Zardet, 1992). « Un coût est dit visible lorsqu'il a trois caractéristiques : une dénomination consacrée (ex. charges de personnel), une mesure (montant des salaires et des charges sociales) et un système de surveillance. [...]
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