Le contrôle de gestion par la qualité totale

Résumé du document

Cours de management sur le contrôle de gestion par la qualité totale rappelant l'historique et les bases du contrôle de gestion. Ce cours de trois pages au format Word est construit en trois parties très détaillées. Un document de 1320 mots environ.

Extraits

[...] L'inconvénient est que le contrôle s'effectue en fin de chaîne, il est donc très coûteux (nombreuses éliminations des produits défectueux ou de qualité médiocre). - l'adaptation à l'utilisation : introduction du marketing pour assurer la satisfaction des besoins du marché. Elle s'obtient aussi par un contrôle à la fin de la chaîne de production, et donc par l'élimination ou la retouche des produits qui s'écartent des normes d'utilisation. Pour obtenir une qualité plus élevée, il suffit de resserrer les limites de contrôle. Mais ceci augmente aussi le gaspillage et donc les coûts. [...]

[...] Ces clefs, qui sont en fait des rapports, sont fixées plus ou moins arbitrairement par le contrôleur de gestion. Il n'existe, en effet, pas de clefs pouvant être utilisées dans tous les cas. Une clef fréquemment utilisée pour répartir les charges indirectes des ateliers de production est l'heure de main-d'œuvre directe (HMOD). La fixation de ces clefs est le principal reproche fait à la méthode. En effet, elle suppose que les charges indirectes sont réparties de manière linéaire selon les produits. Cette méthode est adaptée à une logique taylorienne d'organisation de l'entreprise (hiérarchie verticale). [...]

[...] Pour chaque activité, un inducteur (le driver) sera retenu et suivi (par exemple, le nombre de commandes, les quantités de référence). Cet inducteur sera l'unité d'œuvre qui permettra de répartir le coût total de l'activité. Enfin, pour chaque produit étudié, le modèle précisera les inducteurs consommés, permettant ainsi l'élaboration du prix de revient. Cette méthode est plus adaptée à une logique d'organisation horizontale (de type processus). Calcul du coût partiel Dans ces méthodes de calcul, nous allons étudier certains coûts incorporables, les autres étant considérés globalement. [...]

[...] Elles peuvent être représentées graphiquement par l'équation : CV= ax + b Avec Charges variables unitaires Charges de structure Quantités produites Les charges de structure (coût fixe CF) évoluent par paliers et restent constantes à l'intérieur d'un même palier, même si l'entreprise est en sous ou en suractivité. Elles doivent toujours être considérées globalement et non pas unitairement. Cette méthode permet également de calculer le résultat économique : RE= M/CV charges de structure Le seuil de rentabilité est le niveau d'activité à partir duquel l'entreprise commence à réaliser un profit. Et la date à partir de laquelle l'entreprise commence à faire du bénéfice est appelée le point mort. Au SR, le RE est nul. [...]

[...] L'objectif n'est plus un niveau de qualité acceptable, mais la qualité totale (zéro défaut). Le contrôle de gestion prend alors une place importante dans l'entreprise. - la satisfaction des exigences latentes : c'est la satisfaction des besoins du client avant même qu'il en soit conscient afin de monopoliser le marché pendant un certain temps( produits innovants surpassant ceux des concurrents (qualité de conception) II/ GESTION DE LA QUALITE La qualité est devenue incontournable de la maîtrise des coûts. En effet, la non qualité entraîne des coûts supplémentaires, les coûts cachés. [...]