Efficience informationnelle, marchés, gestion de portefeuille, quantification du risque, titres financiers
Le choix d'un gestionnaire de portefeuille quant au mode de gestion envisagé dépend de son opinion sur l'efficience informationnelle des marchés.
En fonction du degré de croyance du gérant en l'efficience informationnelle, il va adopter telle ou telle stratégie.
Schématiquement : gestion passive versus gestion active.
Niveau d'efficience des marchés : sujet très controversé, les recherches se poursuivent.
Objet : exposer les faits qui font l'objet d'un consensus.
[...] ou bien détermination empirique : Indicateurs sur la santé des Etats. Décideurs : PIB, Balance commerciale, dette publique, inflation, structure des taux d'intérêts, indice d'opinion, indice PMI, indice ISM, Endettement, bénéfice, volatilité des marchés. Ménages : emplois, indice de conformité, immobilier, volatilité des marchés. Agrégats : Monétaires, prix à la consommation. Définition inflation/désinflation/déflation Le modèle de Fama et French (1992) Ri Rf = αi + βi1 ( Rm Rf) + βi2 ( Rsmall Rbig) + βi3 (Rhigh Rlow) Idée sous-jacente au modèle = deux facteurs semblent liés à la rentabilité des titres ; la taille de la société et le ratio rapportant la valeur comptable de ses capitaux risques sur leur valeur de marché ( ratio book-to-market) Taille : mesurée par la valeur de ses capitaux propres. [...]
[...] Objet : exposer les faits qui font l'objet d'un consensus. Différentes approches de l'efficience informationnelle Objectif du marché : permettre une meilleure allocation des ressources de l'économie. Il y a différentes approches qui dépendent du comportement postulé des intervenants. Définition de la rationalité pour l'école classique : - Première caractéristique : Cela signifie que les acteurs financiers et économiques ont des préférences biens établis. - Deuxième caractéristique : ses acteurs poursuivent très clairement des objectifs identifiés et notamment l'objectif de maximiser la richesse. [...]
[...] - Anomalies météorologiques : o Effet lune : il semblerait qu'au moment de la pleine lune, il y a une chute des rentabilités sur le marché. o Effet soleil : Inversement il y a un effet soleil c'est-à-dire qu'il y a un impact météorologique positif au moment où on sort de l'hiver. CHAPITRE 2 : LA VALEUR ET LE RISQUE En 2004, Danone a dégagé une rentabilité sur ses capitaux de 5,99% et un bénéfice de 317 millions d'euros. Une société qui obtient de tels bénéfices crée-t-elle de la valeur ? La rentabilité seule ne permet pas de répondre à cette question. [...]
[...] C'est un phénomène de convergence. Paradigme moyenne variance Commentaire - Les portefeuilles optimaux se situent sur la partie supérieure de l'hyperbole - La frontière efficiente relie deux points particuliers - Sur la partie supérieure de la demi-hyperbole, chaque investisseur peut choisir le portefeuille qui lui convient le mieux en fonction de son aversion au risque - Un portefeuille efficient est donc un portefeuille qui procure : o La rentabilité la plus élevée pour un niveau de risque donné ; o Le risque le plus faible pour un niveau de rentabilité donnée - Le degré de corrélation (pAB) entre les deux titres A et B joue un rôle de premier ordre. [...]
[...] On va utiliser les informations passées pour estimer le risque futur. Risque stable : dépend des périodes. Lorsqu'on est gérant de portefeuilles, le béta va être amené à varier. Sharpe et Lintner qui ont développé le modèle du MEDAF Les modèles alternatifs de tarification du risque Principe de ces modèles : la rentabilité peut être expliquée par d'autres facteurs. Remise en cause de l'unicité de Beta Le modèle d'évaluation par arbitrage (Ross, 1970), la rentabilité d'un actif est fonction de plusieurs facteurs de risque. [...]
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