Introduction à la gestion

Thèmes abordés

Théorie économique traditionnelle, théorie des coûts de transaction, théorie des droits de propriété, théorie de l'agence, Midler, ouverture de la boîte noire, recherche-intervention, sciences de gestion, contingence structurelle, management industriel

Résumé du document

- Un cadre : « unité de coordination ayant des frontières identifiables (on sait ce qui fait partie de la propriété de l'entreprise et ce qui ne l'est pas) et fonctionnant de façon relativement continue (projet, entreprise qui perdure), en vue d'atteindre un objectif ou un ensemble d'objectifs partagés par les membres participants (il y a organisation où il y a humain) » de Ménard [1995].
- Un processus : procédure de coordination spécifique qui assure l'allocation des ressources par ses moyens propres (...)

Extraits

[...] Dédié, moules de production, pilote S/Rhin). Certains actifs compris humains) sont très peu spécifiques. Comment ↓ les coûts de transaction ? Situation de départ : rationalité limitée. IV. La théorie de l'agence. Auteurs : JENSEN et MECKLING [1976] - Les relations contractuelles sont toutes les relations d'agence. Relation d'agence : une ou plusieurs personnes (principal) engage une autre personne (agent) pour exécuter en son nom une tâche. Comment minimiser les coûts d'agence ? Dépenses de surveillance et d'incitation. Coûts d'assurance. [...]

[...] - Incitations uniquement financières pour les ouvriers ? - Critiques développées par l'école des Réactions Humaines (voir Chapitre 3). ▓ Limites technologiques: - Forte rigidité du processus productif. Pas de différenciation des produits alors que la demande porte de + en + vers des produits différenciés. ▓ Limites économiques: - Baisse de motivation ( qualité moyenne des biens. L'intérêt au travail n'existe Saturation des marchés : plafonnement de la productivité globale. II. A. Henri FAYOL, la théorie de la gestion « administrative ». [...]

[...] Il est influencé, formé par les interactions avec les autres individus. Une « main invisible » (ou comment l'intérêt individuel permet d'assurer la richesse d'une nation) permet de réconcilier intérêt général et intérêt particulier (repris par les théoriciens néo-classiques) = Chacun recherche son intérêt personnel. « Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il (l'individu) travaille souvent d'une manière bien plus efficace pour l'intérêt de la société, que s'il avait réellement pour but d'y travailler » d'Adam Smith D'autres auteurs s'intéressent plutôt à la figure de l'entrepreneur : c'est celui qui apporte le capital pour TURGOT [1727-1781] assume les risques et permet l'équilibre du marché pour Richard CANTILLON [1680-1734] [Essai sur la nature du Commerce en général, publié à titre posthume en 1755] combine des moyens de production dans un environnement incertain pour J-B SAY [1767-1832] L'entreprise est réduite à l'action d'un individu aux « qualités exceptionnelles » ( donc pas encore de théorie de l'entreprise. [...]

[...] Midler et l'auto qui n'existait pas. Chapitre 4 : Quels liens entre sciences de gestion et sciences économiques? Les nouvelles théories économiques de l'entreprise I. La firme comme un noeud de contrat. II. Pourquoi les firmes existent-elles? La question initiale de R.Coase III. La théorie des coûts de transaction (O.E. Williamson) IV. La théorie des droits de propriété (Alchian et Demsetz) V. La théorie de l'agence Introduction générale : Quelques définitions : Gestion : idée d'optimisation. Optimiser : atteindre des objectifs en minimisant les moyens (matériel, humain etc.). [...]

[...] L'entreprise vue par la théorie économique traditionnelle II. L'entreprise, une organisation économique. (ou "l'ouverture de la boîte noire") III. Quelques exemples approfondis / Etudes de cas. A. Dupont de Nemours B. General Motors. Chapitre 2 : Sciences de gestion : l'apparition de la gestion "moderne". I. Le management industriel II. Un modèle critiqué. III. La question de la contingence structurelle. Chapitre 3 : Les sciences de gestion aujourd'hui : l'exemple de la recherche-intervention I. La question de la neutralité du chercheur. II. [...]