Le contrôle de gestion se définit par le processus par lequel les managers obtiennent l'assurance que les résultats sont obtenus et utilisés de manière efficace et efficiente pour réaliser les objectifs de l'organisation.
La performance peut être définie comme l'association de l'efficacité (obtention de résultats attendus dans le cadre d'objectifs prédéfinis) et de l'efficience (amélioration de la gestion des moyens en relation avec les résultats obtenus).
Le contrôle de gestion devient donc un outil de suivi permanent pour aider avant la prise de décision, pour le choix de la réponse, pour sa mise en œuvre et son contrôle. C'est aussi un outil de médiation et d'animation entre les partenaires de l'entreprise.
Les théoriciens de la contingence soutiennent que l'organisation est soumise à des facteurs de contingence, des éléments propres à l'entreprise qui évoluent avec elle et doivent influencer ses choix. Il existe donc des solutions organisationnelles satisfaisantes pour une entreprise spécifique mais pas d'outils uniques optimaux, utilisables dans toutes les entreprises. De même, pour le contrôle de gestion, il n'existe pas d'outils standard à toute organisation. Le contrôle de gestion est un outil de gestion adapté à une entreprise, qui évolue avec elle, en tenant compte de son environnement économique et technologique. Il y'a donc une remise en cause permanente des outils mis en place.
[...] On distingue deux étapes : L'optimisation des approvisionnements (phase de prévision) La construction du budget proprement dit. a. Les techniques de gestion des stocks Les fondements économiques a. Les coûts de la gestion des stocks Les stocks constituent un instrument de régulation essentiel mais engendrent des coûts qu'il conviendra de minimiser. Les coûts liés à la commande sont généralement fixés unitairement : ils ne sont pas liés à la quantité achetée. On distingue plusieurs coûts : Les coûts de pénurie : c'est un coût de rupture (les stocks sont insuffisants). [...]
[...] Stratégie et planification d'entreprise a. Différentes approches de la planification : Pour Michel Gervais, la planification d'entreprise a pour but de préparer l'insertion de l'organisation dans l'avenir. Grâce à la planification, l'entreprise peut maîtriser le futur et positionner l'organisation. Dans cette optique, la planification peut s'identifier au processus de réflexion stratégique défini comme la manière dont l'entreprise investit ses ressources au mieux de ses avantages compétitifs et de la finalité qu'elle poursuit compte tenu des changements attendus dans son environnement. [...]
[...] Les deux ne sont pas réalisables. L'analyse des coûts marginaux est davantage un sujet théorique que pratique. La méthode met fin à l'idée selon laquelle le produit peut croître sans fin (il est question de niveaux optimaux). La méthode peut néanmoins aider les responsables à prendre des décisions exceptionnelles aux conséquences lourdes (réaliser un investissement ) : il peuvent ainsi tenter de quantifier l'incidence de la décision. IV. La méthode de l'imputation rationnelle L'imputation rationnelle des charges fixes est une méthode ayant pour but : De neutraliser l'effet des variations d'activité D'évaluer, en l'isolant, l'effet des variations d'activité sur le résultat de l'entreprise. [...]
[...] Coût complet MCV Résultat CF CV Rendements décroissants Rendements constants Rendements croissants C.V. C.A. [...]
[...] Elle s'inscrit tout au long du cycle de vie du produit (de son processus de développement). Pour Philippe Lorino, le coût cible est le lieu de rencontre entre le marché et les compétences internes de l'entreprise. C'est une démarche tournée vers le marché qui permet de gérer la performance vers le présent et le futur dans le cadre d'un apprentissage collectif. La méthode se réalise en plusieurs étapes : On détermine le prix cible sur la durée de vie du produit. [...]
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