Cours sur le contrôle de gestion. Celui-ci présente le principe du contrôle budgétaire puis la mesure des écarts, le traitement des encours ainsi que le fonctionnement de la responsabilité commerciale. Ce document est illustré d'exercices corrigés pour mettre en application.
[...] L'écart sur quantité total repose sur une variation de 500 unité, ce qui représente une progression par rapport au volume prévisionnel d'a peine supérieure a Il serai donc judicieux de rapprocher cette évolution de l'évolution sectorielle afin de juger effectivement de la réelle performance de la société. Le problème essentiel de cette structure repose sur le manque de différenciation évident du produit orienté sur les réseaux. En effet, les coûts qu'ils soient prévisionnel ou réel sont identiques quelque soit le réseau, ce qui annonce effectivement l'absence totale de clientèle captive quelque soit le réseau, d'ou l'échec de la progression des tarifs sur le réseau des détaillants. [...]
[...] L'écart sur marge unitaire : qui mesurera l'effet sur la marge totale d'une dérive éventuelle des marges unitaires. L'écart sur composition : qui mesurera l'effet d'un dérapage des différents poids des produits dans le porte feuille global. Notons que si la dérive constaté de la composition s'effectue d'un produit à forte marge vers un produit à faible marge la dérive sera totale et entamera nettement la marge globale. L'écart sur quantité totale : qui mesure uniquement l'évolution des quantités globales par rapport aux prévisions. [...]
[...] L'analyse plus particulière des trois écarts retenu montrent que la défaillance du fournisseur de kevlar a eu une nette répercussion sur la dérive de certains coûts. L'entreprise a du recourir aux heures supplémentaire pour lever le blocage d'activité lui coûtant ainsi Ce surcoût peut être rattacher au dérapage des prix de la matière kevlar. On peut en effet raisonnablement penser que face à la défaillance enregistrer sur les chaînes de fabrication, la principal préoccupation de la direction de la production a été de réapprovisionner prioritairement la chaîne au détriment des négociations de prix. [...]
[...] Les rendements en terme de productivité sont donc meilleurs. Pour l'écart sur volume d'activité, le plan comptable se repose uniquement sur le fait que l'activité réelle est inférieure à l'activité normale, et va donc considéré que les coûts engagé prévisionnellement seront moins important, ce qui est donc pour lui favorable. Coûts réels 19000 Ecart sur coût variable (budget) Budget flexible activité réel FAV Ecart sur imputation coûts fixes ( activité) Coût d'unité d'œuvre préétabli asso à la conso réelle DEF 400 10*1900=19000 Ecart sur rendement Coût d'unité d'œuvre préétabli de la préétabli adapté à la réelle FAV 500 10*1950(2000/400*390)=19500 Ecart sur volume d'activité Coût préétabli FAV DEUXIEME CAS / Coûts réels 21000 Ecart sur coût variable (budget) Budget flexible activité réel DEF Ecart sur imputation coûts fixes ( activité) Coût d'unité d'œuvre préétabli asso à la conso réelle FAV 400 10*2100=21000 Ecart sur rendement Coût d'unité d'œuvre préétabli de la préétabli adapté à la réelle FAV 1000 10*440 (2000/400*440)= 22000 Ecart sur volume d'activité Coût préétabli DEV Ecart global : défavorable de 1000 III problemes particulier lié au traitement des encours. [...]
[...] les encours finaux auront en effet consommé toutes ou parties de certains facteurs et devront donc être pris en compte au niveau des éléments réels. A contrario, les encours initiaux n'auront pas à être intégrer dans le calcul puisque les facteurs consommés ont été engagés au cours de la période précédente. Ex : quantités produits finis :100. ECI : 30 ECF : 20 Matière première : équivalent aux produits finis + (20 * 100 (30 * 100 = 90. MOD : équivalent 100 + (30 * = 98. [...]
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