Dans un contexte de mondialisation des marchés et de production en économie d'échelle, les entreprises internationales quelles qu'elles soient se confrontent à un problème de gestion budgétaire sur les postes clés afin de survivre à un marché de plus en plus concurrentiel.
En effet pour réduire les coûts de production, de distribution, de recherche et développement, certaines entreprises préfèrent tout internaliser (intégration verticale) ou sous-traiter (La sous-traitance) ou tout simplement laisser faire le marché, c'est la politique du « faire » ou « laisser-faire » en référence à la théorie des coûts de transaction.
Il est de toute évidence logique que pour mener une politique de prix de plus en plus concurrentielle, au-delà de l'analyse des charges directes et des charges indirectes, des charges fixes et variables, il est nécessaire de pratiquer un pilotage budgétaire adéquat pour mieux imputer la responsabilité de chaque centre au résultat qu'il dégage.
[...] l'écart sur marge c. l'écart sur coût de production d. l'écart sur charges de structure III. Explications et calcul des écarts et sous écarts a. Ecart de prix, sur quantité, sur mix et sur volume b. Ecart sur charges directes et indirectes IV. [...]
[...] Reprenons notre exemple et essayons de calculer l'écart sur charges de structures. Nous allons considérer comme hypothèse que les coûts de production des productions des produits 1 et 2 de l'entreprise A soient entièrement fixes et essayer d'en calculer l'écart sur charges de structure : Charges de structure Réelle : (1148 *140) + (902*183)= 325786 euros Charges de structures Standard : (1200* 142) + (800*180)= 314400 euros L'écart sur charges de structure ici est donc défavorable, et suite à un changement d'activité a été modifiée et est passé de 314400 à 325786 euros soit un écart défavorable de : 314400-325786= -11386 euros, la hausse d'activité à certainement crée plus de charges fixes comme une hausse du loyer par exemple après révision trimestrielle ou une hausse de la patente suite à une hausse du chiffre d'affaires de l'entreprise ou même une hausse des forfaits téléphoniques, hausse clientèle oblige. [...]
[...] L'étude des centres de responsabilité, l'établissement des tableaux de bord et le pilotage organisationnel découlent directement du contrôle budgétaire du résultat. Il faut donc donner une dimension organisationnelle à cette étude, un licenciement ou une délocalisation peut découler de plusieurs facteurs internes à la structure et qu'il faut corriger à l'immédiat ou sur le long terme c'est-à-dire à faire des actions correctives, il en va de la pérennité de l'entreprise. Dans cet exposé nous étudierons le plus simplement possible le contrôle budgétaire du résultat, sa représentation, ses écarts, les actions correctives qui peuvent être menées, son impact en matière de décisions stratégiques et les limites de la méthode. [...]
[...] Autant dans le service d'achat (le responsable des achats), dans le service de production, de distribution, dans les ventes. Ces services étant étroitement liés les uns aux autres et nécessitent tous une gestion de budget de plus en plus important, mondialisation exige. Même si les ateliers de production appliquent en majorité cette théorie, des entreprises comme les banques ou certaines administrations ne sont pas en reste, les services administratifs étant prédominants le budget doit de plus en plus être suivi de près, mais aussi avec les divers portefeuilles confiés et gérés par ces entreprises, un suivi budgétaire s'impose. [...]
[...] sur les unités (ateliers) b. sur la qualification des ouvriers Conclusion et limites du contrôle budgétaire Dans un contexte de mondialisation des marchés et de production en économie d'échelle, les entreprises internationales quelles qu'elles soient se confrontent à un problème de gestion budgétaire sur les postes clés afin de survivre à un marché de plus en plus concurrentiel. En effet pour réduire les coûts de production, de distribution, de recherche et développement, certaines entreprises préfèrent tout internaliser (intégration verticale) ou sous-traiter (La sous-traitance) ou tout simplement laisser faire le marché, c'est la politique du faire ou laisser-faire en référence à la théorie des coûts de transaction. [...]
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