Politiques financières, trésorerie, mesure, gestion de la trésorerie, finance d'entreprise
Intérêt à la gestion des liquidités, c'est-à-dire à court terme (moins d'un an). La finance d'entreprise utilise comme informations principales la comptabilité par opposition à la finance de marché avec un point de vue extérieur à l'entreprise, le point de vue de l'investisseur.
Nous ne nous intéresserons pas aux choix de financements, aux choix d'investissements.
Vision schématique de toutes sociétés qui permet de mettre en avant des mécanismes fondamentaux : les liquidités apparaissent plutôt comme résultante, elle arrive plus ou moins en bout de course au terme d'un processus de transformation assez long. Comment une décision prise en entreprise a un impact sur les liquidités.
[...] (intrinsèquement) Sans opérations exceptionnels Compensation produits charges financières ( charges nettes = SIG simplifié : RE 34 - Frais financiers nets - 5 = RCAI = 29 Impôt (taux - 8,70 = Bénéfice B = 20,30 > 0 Taux de rentabilité = B/C = 20,30/187 = 0,1086 Levier L : Uniquement des taux 2 niveaux d'analyse : la sphère économique (=l'exploitation, l'actif) et la sphère financière les capitaux, le passif) - Taux de rentabilité d'exploitation : k = RE/A ( RE = k*A - Taux d'intérêt moyen de la dette : t = FF/D ( FF = t*D Formule du levier : : taux d'impôt) B = (RE FF)(=résultat avant impôt)(1-T) B = (kA Taux de rentabilité : B/C : (kA tD)(1 A = P = C + D B/C = (kC + kD B/C k + = r = la formule à connaitre de l'effet de levier (on calcule d'abord [ k + et on fera ensuite Rentabilité des capitaux propres = rentabilité des actifs investis Absence de dette : D = 0 ( L = 0 B/C = Présence de dette : D ( levier (mais est-il favorable L favorable si ou k>t La dette améliore la rentabilité de la société D'où l'incitation à l'endettement, à la dette L défavorable si [...]
[...] Et les décaissements précèdent le plus souvent les encaissements - Par précaution : on veut pouvoir faire face aux imprévus en ayant des liquidités, c'est la question face au risque. Dépend de la gestion du risque. - Un motif spéculatif : saisir des opportunités lorsqu'elles se présentent. En finance, on appelle ça la flexibilité financière. [...]
[...] B = somme des produits somme des charges Le B exceptionnel n'est pas régulier c'est pourquoi il n'apparait pas ici. On résonne hors éléments exceptionnel lors de diagnostic financier car trop manipulable, peut servir à accommoder les résultats. Ici on résonne en flux de trésorerie, encaissements/décaissements Comment passer de B = somme des produits somme des charges à Certains produits ne sont pas encaissables (exemple : reprise sur dotations aux amortissement = annulation d'une dotation, mais on n'encaisse rien)et certaines charges ne sont pas décaissables (exemple : les dotations) Cela nous amène à la capacité d'autofinancement. [...]
[...] Buts : Assurer la solvabilité de façon permanente (éviter les failles et les périodes difficiles) Mais au moindre coût (calculer les coûts de gestion de la trésorerie) il y a toujours un objectif de rentabilité Gestion d'un stock de liquidité, stock = existe, est positif. L'objectif est donc d'avoir une trésorerie positive. C'est un objectif fortement ancré dans la pratique la situation est saine car la trésorerie est positive TRE>0 = Objectif légitime car 3 raisons : - Un motif transactionnel : les encaissements et décaissements ne sont pas parfaitement synchronisés, c'est une question de date et en plus ce ne sont pas les mêmes montants. [...]
[...] On va faire un arbitrage entre 2 risques opposés (trop ou pas assez) : - Si TRE>0 c'est bien mais l'inconvénient c'est le manque à gagner car ces ressources sont improductives, non rentabilisées. C'est quasiment invisible, on parle de coût d'opportunité (opportunité de placement que l'on peut manquer) - TRE0 ; ETE = - (disponibilité minimum = TREp = 28 (correspond uniquement au concours bancaire courant, on ne met pas les dettes à moins d'un an. Les dettes financière totale = 78, il faut les ventiler dans le bilan au passif, en dessous du bilan on voit que c'est partagé en concours bancaires courant / dette à +1an / dette à à an = 40 Credit = 50 A an= 10 Dette fi = 78 Concours bancaire courants = 28 mais ce ne sont pas des prêt à moins d'un an à l'origine, c'est juste que cette dette à moins d'un an arrive juste à terme. [...]
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