Comptabilité, contrôle de gestion, méthode des centres d'analyse, centre d'analyse, Taylorisme, structure fonctionnelle, Production, encours de production, cout d'achat, approvisionnement, charge non incorporable, charge calculée, charge supplétive, comptabilité de gestion, comptabilité financière, traitement des charges, charges directes, charges indirectes, unité d'oeuvre, répartition des charges, Ressources humaines, prestation réciproque, valorisation des stocks, entrée de stocks, CUMP Cout Unitaire Moyen Pondéré, gestion des déchets, sous-produit, résultat analytique
La méthode des centres d'analyses est apparue au 19e siècle avec les travaux de Taylor : travail à la chaine, spécialisation des tâches, parcellisation des tâches. La méthode a aussi vu naitre la structure fonctionnelle : chaque fonction est spécialisée (approvisionnement - production - commercial).
La méthode est fondée sur les idées de Taylor. Elle est adaptée à la structure fonctionnelle et pour une production de masse et un produit homogène.
Les objectifs sont : calculer le cout d'un produit - déterminer la marge - valoriser les stocks (principes de la méthode des couts complets).
[...] Par conséquent, on doit tenir des intérêts fictifs sur les capitaux propres. Le traitement des charges Les charges directes (straight cost) Elles sont directement affectables à un objet de cout sans ambiguïté (par ex, les heures de main-d'œuvre de l'atelier 2 sont affectables à l'atelier Les charges indirectes (overhead cost) Elles concernent principalement la structure de l'entreprise ou bien plusieurs produits (un ouvrier travaille sur la machine 1 et la machine 2 et sur 3 produits). Il s'agit d'une charge indirecte, pour savoir le cout horaire pour un seul produit, il faut réaliser un traitement spécifique. [...]
[...] Lors du calcul des couts, vu que la facture n'était pas arrivée, le contrôleur de gestion a estimé une consommation pour 6000Euro. Différence d'incorporation de : 6500 -6000 = +500 Charges supplétives Elles n'existent pas en comptabilité générale, mais pour des raisons économiques et juridiques et fiscales, elles doivent se rajouter au calcul des couts : Rémunération fictive d'un gérant majoritaire d'une SARL : un gérant majoritaire ne peut pas être salarié, mais sans lui le produit n'existerait pas. C'est pourquoi, pour le calcul des couts, il faut tenir compte de sa rémunération fictive. [...]
[...] La méthode est simple et elle est idéale lorsque l'entreprise travaille avec le même fournisseur. Inconvénient = le CUMP est connu qu'à la fin de période. CUMP après chaque entrée Stock initial + entrée Sorties Stock final Date Qté Cu Montant Qté Cu Montant Qté Cu Montant 01/ 06/ 30-15 = 10/ 15+20 = 12/ 17/ 26/ 28/ Le CUMP est calculé après chaque entrée CUMP en fin de période = (stock final en valeur + entrées en valeur) / (stock final qté + entrée qté) CUMP en fin de période = (1800+ 3000) / (15 + 20) =137.14 CUMP en fin de période = (1371.40+ 3850) / (10 + 35) =116.03 CUMP en fin de période = (5221.35+ 2700) / (45 + 15) =132.02 La méthode est plus fine que le CUMP fin de période. [...]
[...] Les objectifs sont : calculer le cout d'un produit - déterminer la marge - valoriser les stocks (principes de la méthode des couts complets) Les limites : Le travail est a posteriori : les énoncés des exercices sont au passé : l'entreprise ne connait le cout et la marge qu'après la période donc pas de possibilité de réajustement Un centre peut travailler que si le précédent a terminé (l'atelier montage ne peut travailler que si le centre d'approvisionnement a acheté les tissus) : un retard dans le planning de production a des conséquences sur tout le cycle. La structure fonctionnelle présente l'inconvénient que les centres peuvent communiquer entre elles que par le biais de la direction (la communication ascendante et non transversale d'où un décalage entre la production et sa pub) Le tableau de répartition des charges indirectes : le CDG affecte souvent de façon aléatoire les charges indirectes aux centres. De plus, le choix de l'unité d'œuvre doit être en adéquation avec l'activité du centre. [...]
[...] Puis, il prend la structure de l'entreprise, et pour chaque fonction, il crée un centre d'analyse. Le centre d'analyse est une subdivision de l'entreprise où sont analysés et regroupés les éléments de charges indirectes répartis par le CDG (il affecte les charges indirectes sur les différents centres d'analyse). Les unités d'œuvres Chaque centre d'analyse a une unité de mesure qui le caractérise : une unité d'œuvre. Par ex, un atelier automatisé (beaucoup de machines) aura une unité d'œuvre « HEURES MACHINES ». [...]
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