Le financement recueilli va passer par le bilan d'une banque, c'est-à-dire par des ressources tout d'abord collectées par une banque. On parle d'intermédiation d'un bilan. Cela veut dire qu'on a un apport de capitaux de la part des ménages, des entreprises qui vont venir gonfler les ressources de la banque qui va le prêter à des demandeurs de capitaux.
L'apporteur de capitaux va ignorer complètement la destination des fonds qu'il apporte, il va seulement faire confiance à la banque. La banque va seulement rémunérer ce service. La banque représente un écran total entre l'apporteur de capitaux et le demandeur. Dans cette représentation, le risque de paiement est assumé par la banque.
[...] Le marché monétaire est le marché des fonds du court et moyen terme à travers de la finance directe et non pas à travers les bilans de banque. On a fréquemment recours au très court terme. Il comprend le marché interbancaire et le marché des titres de créance négociable (TCN). I. Le marché interbancaire C'est le marché ou les banques vont venir s'alimenter en liquide. C'est plus juste de dire l'ensemble des établissements de crédit. C'est un marché libre, les transactions se font de façon bilatérale on peut dire que c'est un marché de gré à gré. [...]
[...] Le volume de transaction sur le marché à moyen terme est moins important. On parle de BMTN. Sur le long terme, on retrouve des obligations et des actions. On va tomber sur ce que l'on appelle le marché financier à proprement parlé. Lorsque l'on parle d'actions et d'obligations, on fait référence à trois segments : obligation, action et titre hybrides (qui relèvent à la fois de l'action et de l'obligation). Les titres hybrides en termes de volume sont très attractifs. [...]
[...] À condition qu'il y ait une rotation annuelle d'au moins des titres (en dessous, on considère que ce sont des sociétés inactives). Les Indices Sectorielles : on a les valeurs industrielles, les services et financières. CHAPITRE 4 : Les Instruments de base des Marchés Dérivés Les Marchés Dérivés existent depuis fort longtemps, on peut les dater à l'immédiat après-guerre (2e GM). Il s'est organisé en marchés de produits dérivés qui se sont développés essentiellement aux États-Unis et exclusivement sur les produits de base : produits agricoles, minéraux. [...]
[...] On a diminué le cout de la combinaison en écartant PE1 et PE2. Le BUTTURFLY va être comme un STRADDLE, achat d'un CALL à un prix PE et put PE, mais on va rajouter la vente d'un CALL à un prix PE3, PE3> PE et vente d'un PUT à un prix PE4 > PE1 et PE2, on a diminué la prime et renoncer à des gains supplémentaires. Le CONDOR : Je reprends mon STRANGLE, j'achète un CALL à un prix PE1 et un PUT à un prix PE2, PE1> PE2, mais je rajoute à cela deux ventes d'un CALL à un prix PE3 supérieur à PE1 et la vente d'un PUT à un prix PE2 inférieur à PE2. [...]
[...] Finance directe : Par définition mon apporteur de capitaux est en relation directe avec le demandeur de capitaux. Le prêteur de capitaux va prêter des fonds et en contrepartie le demandeur de capitaux va remettre un titre. Les grandes évolutions sur le marché des capitaux depuis les années 80 : les 3D : dérégulation décloisonnement désintermédiation Ces 3D ont eu pour conséquence un glissement de la finance indirecte vers la finance directe : appelée marchéisation des financements. De moins en moins de financements passent par les banques. [...]
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