Les conditions dans lesquelles une entreprise peut être amenée à acquérir une immobilisation nouvelle sont extrêmement variées. Il est classique de distinguer les programmes d'immobilisations selon qu'ils concernent :
- le renouvellement normal des matériels usagés,
- la croissance de la production,
- l'amélioration de la rentabilité par la mise en œuvre de techniques nouvelles,
- le développement d'un nouveau produit,
- l'investissement stratégique,
- l'investissement social.
[...] Le facteur temps n'a pas été pris en considération. En d'autres termes, tout s'est passé comme si les euros reçus dans un an, dans deux ans, dans trois ans, avaient la même valeur que ceux versés aujourd'hui. ( Délai de récupération du capital engagé : Calculé par interpolation sur la base des flux nets de trésorerie non actualisés, le délai de récupération du capital (ou D.R.C.) est de : En effet : la première année, dégage un flux net total de : -100 + 41 = 59 (12 mois) la seconde année, dégage un flux net total de : 59 + 91 = + 32 Les 59 sont atteints au bout de : N. [...]
[...] Sa capacité d'endettement est de compte tenu de sa CAF. Sa capacité d'investissement est donc de : EN CONCLUSION - Lorsque l'équilibre financier est entièrement réalisé, le passif à moyen et long terme est égal aux capitaux propres. Tout accroissement des capitaux propres permet donc un accroissement équivalent du passif MT et LT, de sorte que l'accroissement des fonds permanents peut être égal à deux fois celui des capitaux propres. - Les besoins de croissance de l'activité étant satisfaits, l'accroissement des capitaux permanents peut s'imputer entièrement aux immobilisations, puisqu'il n'y a pas de besoins en fonds de roulement excédentaire. [...]
[...] Mais il ne prend pas en compte les éléments postérieurs à cette période : il risque de pénaliser les investissements lourds à long délai de recouvrement. II. LA VALEUR ACTUELLE NETTE (V.A.N.) Le calcul consiste à : déterminer, pour chaque année de prévision, la somme algébrique des encaissements et des décaissements ; actualiser le montant obtenu pour chaque année en la pondérant d'un coefficient + n étant la n ème année de mise en exploitation de l'investissement. N. B. : la V.A.N. [...]
[...] En revanche, dans l'équation de recherche du Taux interne de Rentabilité, les cash-flows sont supposés être réinvestis au taux de rentabilité de l'investissement en projet. Or le taux de rentabilité économique d'un investissement ponctuel et individualisé peut être assez élevé, tandis que l'entreprise réinvestit ses cash-flows dans des emplois très divers, dont certains ont un taux de rentabilité moindre. Supposer que l'entreprise est capable de réinvestir ses cash-flows au fur et à mesure de leur génération (à un taux éventuellement plus favorable que le taux moyen de l'entreprise) est parfaitement irréaliste ! [...]
[...] Sur cette base, il est supérieur à 2 ans. ( Valeur actuelle nette : ( Taux interne de Rentabilité : ( TIR économique du projet : le TIR se situe donc entre 40 et Un calcul par approximations successives assure l'équilibre à : taux d'actualisation qui égalise le total des encaissements et celui des décaissements. Rappelons qu'il s'agit du taux maximal auquel l'investisseur acceptera des capitaux si le projet est totalement financé par emprunt et si la totalité des cash-flows est utilisée pour rembourser la dette. [...]
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