Gérer, c'est simple, encore faut-il connaître quelques règles de base, quelques principes fondamentaux et faire l'effort d'acquérir une terminologie pour mieux communiquer et mieux se comprendre. Il en est de la gestion comme d'un jeu sérieux auquel on peut facilement prendre goût... Mais reconnaissez que si vous voulez participer à un nouveau jeu de société par exemple, il vous faudra bien apprendre et mémoriser les règles, probablement retenir une certaine terminologie... ce que vous ferez volontiers afin de ne pas rester à l'écart de ceux qui s'amusent...
Nous nous efforcerons de "démythifier", de rendre plus accessible tout ce qui peut vous paraître étrange, éloigné de votre logique. Progressivement nous découvrirons ensemble ces règles, ces principes, cette terminologie qui vous permettront de vous intéresser à la gestion. D'ailleurs, vous êtes déjà gestionnaire, peut-être sans le savoir comme un certain Mr Jourdain qui faisait de la prose...
En approfondissant vos connaissances dans ce domaine, vous serez plus efficace, vous ne commettrez pas certaines erreurs et de ce fait vous améliorerez vos chances de... gagner ! Attention, il ne s'agit pas seulement d'argent... Vous pourrez gagner en estime, en reconnaissance, en confiance... en compréhension de vos interlocuteurs et en connaissance des mécanismes du fonctionnement de l'entreprise (...)
[...] Nous savons bien que nous avons des comportements différents selon les situations. Piéton, notre comportement est différent de celui que nous avons lorsque nous conduisons Le locataire réagit souvent différemment que le propriétaire. Si tous les salariés se comportaient comme des "co-propriétaires" de l'entreprise peut-être seraient-ils plus attentifs à ce qu'il y ait moins de gaspillage, à réaliser quelques économies qui, ajoutées les unes aux autres, augmenteraient le résultat. "Les petites sources font les grandes rivières" disaient les anciens. Ils n'avaient pas tort. [...]
[...] On trouve les titres de participation (actions et autres titres), les créances rattachées à des participations (avances consolidables, intérêts courus) 27 Autres immobilisations financières dont les titres immobilisés (droits de propriété et de créance), les prêts, les dépôts et cautionnements versés, les actions propres ou parts propres 28 Amortissement des immobilisations en distinguant les amortissements des immobilisations incorporelles et corporelles Provisions pour dépréciation des immobilisations en distinguant, là encore, les provisions pour dépréciation des immobilisations incorporelles, corporelles et, en outre, financières LES COMPTES DE STOCKS 31 Matières premières et fournitures. Il est possible de distinguer, dans des comptes distincts, les différents types de matières ou les fournitures Autres approvisionnements. [...]
[...] Mais il s'agit là d'une possibilité et non d'une obligation. Pourquoi une telle faveur du fisc ? Comprenons bien qu'une entreprise qui utilise l'amortissement dégressif se donne les moyens financiers de renouveler plus rapidement ses investissements, donc d'activer son développement. Comme l'affirmait un économiste "les investissements d'aujourd'hui sont les emplois de demain", ainsi donc, tout ce qui contribue au développement économique est bénéfique au fisc LES AMORTISSEMENTS DEGRESSIFS La technique des amortissements dégressifs est simple. Pour bien la comprendre, nous allons reprendre l'exemple de l'investissement de 1000 que l'on peut amortir sur cinq ans. [...]
[...] Ainsi, dans l'exemple du schéma ci-dessus regroupant des comptes de trésorerie (banque, C.C.P., caisse), toutes les entrées monétaires sont enregistrées dans la colonne de gauche appelée "Entrées" et les sorties dans la colonne de droite appelée "Sorties" LE COMPTE DE TRESORERIE DE NOTRE ENTREPRISE IMAGINAIRE Pour mieux comprendre la construction du compte de résultat et du bilan, revenons un instant à notre entreprise imaginaire. Puisque nous venons de prendre pour exemple le compte de trésorerie, conservons-le. Rappelons tout d'abord que la trésorerie fait partie du patrimoine de l'entreprise. Tout au long de l'exercice, le comptable a tenu scrupuleusement les entrées et les sorties après avoir pris soin de reporter, en début d'exercice, le solde "positif" qu'il avait constaté précédemment. [...]
[...] Ce que nous avons appelé jusqu'à présent les "postes" du bilan ou du compte de résultat s'intitulent, en fait, les COMPTES de l'entreprise. Quand une personne dit "je tiens mes comptes" cela signifie simplement qu'elle enregistre les flux des entrées ou des sorties, qu'il s'agisse de flux monétaires ou physiques. Pour une tenue de compte simplifiée, il lui suffira de suivre les entrées et les sorties de trésorerie. Pour connaître plus précisément la façon dont elle gère ses ressources et ses dépenses, il conviendra de suivre tous les flux, qu'ils soient économiques ou de trésorerie. [...]
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