Toute entreprise se trouve devant l'impératif de solvabilité c'est-à-dire d'effectuer sans interruption des règlements qui résultent, soit :
- d'engagements antérieurement contractés (dettes de financements, dettes fournisseurs) ;
- d'opérations courantes dont la réalisation et le règlement conditionnent la poursuite de l'activité (salaires, cotisations sociales) ;
- de prélèvements obligatoires qui s'imposent du fait de dispositions légales (impôts).
Le maintien de l'équilibre financier met en cause l'aptitude de l'entreprise à honorer ces obligations. Ainsi défini, l'équilibre financier présente les caractéristiques suivantes : il est un une contrainte permanente : toute perturbation dans l'équilibre financier nuit gravement à l'entreprise. Il en résulte que la solvabilité est une contrainte qui s'exerce au quotidien sur l'entreprise. La gestion de dettes exigibles ne peut être différée.
L'équilibre financier est aussi une contrainte absolue : l'équilibre financier ne peut être omis même sur des périodes brèves (comme on peut le faire, par exemple, pour les objectifs de croissance, de rentabilité, du progrès technique ou même social...). De l'ensemble de ces caractéristiques, on déduit que l'équilibre financier constitue pour l'entreprise la condition financière de sa survie.
[...] Il en résulte que la solvabilité est une contrainte qui s'exerce au quotidien sur l'entreprise. La gestion de dettes exigibles ne peut être différée. il est une contrainte absolue : l'équilibre financier ne peut être omis même sur des périodes brèves (comme on peut le faire, par exemple, pour les objectifs de croissance, de rentabilité, du progrès technique ou même social . De l'ensemble de ces caractéristiques, on déduit que l'équilibre financier constitue pour l'entreprise la condition financière de sa survie. A. [...]
[...] Les ratios sont les principaux outils de l'analyse financière. Le choix des ratios n'obéit à aucune normalisation, leur calcul doit cependant être finalisé. Il est inutile de calculer un ratio si on ne peut dégager aucun commentaire significatif. C'est pourquoi il faut élaborer une stratégie de l'analyse avant de l'entamer L'analyse de la structure financière Cette étude permet de répondre à la question suivante : quelle est la structure financière en fin de période résultant de l'activité réalisée, des financements obtenus et des résultats dégagés ? [...]
[...] Cependant, si exceptionnellement, il apparaissait qu'une provision ne soit pas justifiée, on la réintégrerait dans les capitaux propres pour son montant net de l'impôt sur les résultats. [...]
[...] - Les stocks sont réduits de la valeur du stock-outil. - Les créances doivent être ventilées en créances à plus ou moins d'un an selon leur durée de vie résiduelle. Les effets escomptables sont considérés comme de la trésorerie. - Les titres et valeurs de placement sont classés en trésorerie si elles sont réalisables sans coûts et sans délai. b. Retraitements et reclassements des postes du passif - Les dividendes à payer sont retranchés du résultat et ajoutés aux dettes à court terme. [...]
[...] Les postes intéressés sont : subventions d'investissement et provisions réglementées . - Les provisions pour risques et charges : ces provisions représentent des dettes probables. On doit les inscrire, soit dans les dettes à plus d'un an, soit dans les dettes à moins d'un an, en étudiant, cas par cas, la date vraisemblable de réalisation du risque ou de la charge[3]. - Les comptes courants d'associés doivent être transférés aux capitaux propres s'ils sont bloqués ou stables. - L'écart de conversion-passif : c'est un gain de change latent qui a déjà supporté l'impôt sur les résultats. [...]
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