Communication, numérique, internet, réseaux sociaux, NTIC nouvelles technologies de l'information et de la communication, Isabelle Compiègne, DDHEDC déclaration des droits de l'homme et du citoyen
Communication : ensemble des relations entre les individus au sein d'une société. La communication a été révolutionnée depuis le 19° en particulier depuis l'introduction de la radio dès 1930, mais aussi révolutionnée par les apports de la TV et d'Internet. La communication utilise des médias pour transmettre les infos. Le numérique semble actuellement privilégié, mais d'autres médias sont encore utilisés comme la presse, la radio ou bien encore la TV. On peut se demander si la communication ne joue pas un rôle excessif à l'époque actuelle. En effet, elle comporte un certain nombre de risques et de dangers, de ce fait, ne faudrait-il pas engager un contrôle de la communication pour mieux la maîtriser. Il importe dans un premier temps de montrer que la communication joue un rôle indispensable dans la société contemporaine assortie de nombreux apports, mais dans un deuxième temps, il sera nécessaire de s'interroger sur la prédominance de cette communication qui peut être source de danger. Et enfin, il faudra s'atteler à la recherche d'une communication mieux maîtrisée.
[...] Le mal est alors comme le signe de l'impuissance de Dieu, qui ne peut donc être considéré comme le Créateur de toutes choses. Mais le point essentiel d'une telle conception, défendue par Platon dans la République, réside moins dans la simple juxtaposition de deux principes équivalents, le Bien et le Mal, que dans la subordination du second au premier. C'est en effet l'Idée de Bien qui finit par coïncider avec celle de Dieu et qui constitue le principe suprême du savoir comme de l'être. [...]
[...] Mais cette perspective consiste aussi à confondre le mal et la finitude, et à rendre ainsi le premier aussi nécessaire que la seconde. On peut dès lors se demander s'il convient, pour expliquer le mal, d'en faire une composante du réel et d'oublier sa signification essentiellement morale. L'origine libre du mal Le risque inhérent à toute recherche de l'origine consiste a déshumaniser le mal en le rendant nécessaire. Inscrire le mal dans les déficiences de la Création ou dans la limitation des créatures, c'est au fond ignorer, affirme Rousseau, la part que prend l'homme dans son propre malheur. [...]
[...] On peut interpréter en ce sens le récit fondateur de tout questionnement sur l'origine du mal, à savoir le mythe d'Adam et Ève. Ce mythe est véritablement anthropologique (Adam signifie « homme ») en ce qu'il situe l'origine du mal dans un choix humain primordial. Le mal n'accède à l'être qu'au moyen de la liberté qui le réalise ; il n'a pas d'existence qui précédé cette actualisation. Et c'est en choisissant à chaque fois librement le mal qu'un homme « répète » en quelque sorte l'acte d'Adam cédant à la tentation. [...]
[...] Surtout, on est amené à restreindre le concept même de Dieu en instaurant une limite a son pouvoir. Le problème devient par conséquent celui d'une origine du mal qui ne remette en cause ni la bonté de Dieu ni sa puissance. Dans ces conditions, il semble qu'il faille, pour justifier Dieu, faire ce que l'on fait pour disculper un homme, à savoir montrer qu'il ne pouvait agir autrement, qu'il était nécessaire qu'une certaine dose de mal entre dans la Création. [...]
[...] Le mal trouve son unique origine dans la liberté. Dans ces conditions, il faut aller jusqu'à dire avec Kant que l'origine du mal est inconnaissable (ou « insondable »), puisque ce qui relève de la liberté échappe au temps et donc au déterminisme naturel par lequel on explique un phénomène. Le mythe d'Adam et Ève interprété philosophiquement, constitue donc un authentique symbole : il n'est pas un récit exact (littéral) de l'apparition historique du mal dans le monde, mais seulement l'expression imagée de l'origine humaine de la faute. [...]
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