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Pour rendre visible un problème, il faut articuler une campagne médiatique, une proximité avec les personnes concernées, une action par la relation et le dialogue et le facteur temps. Deux théories de la réception sont utiles pour faire de la communication sociale. Celle du "public actif" et des "communautés interprétatives". (Katz, Blumber & Gurevitch), selon laquelle les individus sélectionnent leurs usages des médias en fonction de leurs besoins. Leur appartenance socioculturelle est plus importante que les facteurs psychologiques dans la sélection, l'exposition aux médias et l'interprétation des messages. La communication à double étage ("Two step flow theory", Lazarsfeld) remet en cause le pouvoir des médias et propose une vision "des médias faibles". Des filtres sociaux protègent les individus de l'influence directe des médias de masse. Ils sélectionnent les messages, leurs réseaux interpersonnels de relations sociales et les leaders d'opinion s'interposent entre la communication de masse et l'individu.
[...] Un Blog (web log, journal de bord sur le web) est un type ou une partie de site Web alimenté régulièrement avec de nouveaux billets, notes ou articles sur un sujet donné. Un blogueur peut mélanger textes, liens hypertextes et éléments multimédias ; répondre aux questions et aux commentaires des visiteurs. Début 2011, il y avait près de 156 millions de blogs en ligne avec un million de nouveaux billets par jour. Beaucoup de blogs sont inactifs et éphémères. Le wiki est un site web dont l'écriture et les illustrations sont modifiées de manière coopérative. En 2010, l'encyclopédie libre Wikipédia était le plus consulté des wikis. [...]
[...] Les canaux de transmission d'informations Une communication participative est basée sur un dialogue public et privé où les gens définissent qui ils sont, ce dont ils ont besoin, comment ils vont travailler ensemble pour améliorer leur situation et celle de leur organisation ou de leur communauté. Le bouche-à-oreille : une personne parle à l'oreille d'une autre pour assurer la confidentialité de la discussion et l'information se propage de façon officieuse. La rumeur est un bruit persistant et sans source déterminée qui recouvre des réalités diverses et la transmission large d'une histoire à prétention de vérité par tout moyen de communication formel ou informel. [...]
[...] Initiation à la communication sociale - Comment faire de la communication sociale? Pour rendre visible un problème, il faut articuler une campagne médiatique, une proximité avec les personnes concernées, une action par la relation et le dialogue et le facteur temps. Deux théories de la réception sont utiles pour faire de la communication sociale. Celle du « public et des « communautés interprétatives ». (Katz, Blumber & Gurevitch), selon laquelle les individus sélectionnent leurs usages des médias en fonction de leurs besoins. Leur appartenance socioculturelle est plus importante que les facteurs psychologiques dans la sélection, l'exposition aux médias et l'interprétation des messages. [...]
[...] Les situations de crise, en particulier les conflits sociaux, représentent un risque de réputation. Dans les années 1990, les entreprises américaines qui ont apporté leur soutien au Planning Familial font l'objet d'un boycott des activistes antiavortement, puis de celui des militants pour le droit à l'avortement, parce qu'elles ont retiré leur soutien au Planning Familial. Les conséquences des innovations technologiques ne pas toujours identifiées : quand les CFC (gaz à effet de serre) ont remplacé par des HFC, ces derniers ont ensuite été identifiés comme un gaz à effet de serre (Polonsky). [...]
[...] La communication interne répond à une problématique de demande et d'offre. La demande du salarié, c'est ce qu'il désire savoir, ses inquiétudes, ses objectifs, ses attentes différentes, selon que l'on s'adresse à un cadre ou à un ouvrier, selon le secteur d'activité de l'entreprise, selon le pays. Selon une enquête de la Sofres en 2000, les Anglais sont plus soucieux de la transparence et de l'honnêteté de leur entreprise que les Français qui valorisent plus le dynamisme et la réussite. [...]
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