- Un marché primaire sur lequel les collectivités publiques ou privées peuvent directement faire appel à l'épargne pour obtenir les capitaux de longue durée nécessaires à la couverture de leurs besoins de financement; en contrepartie des capitaux (ou des biens) qu'elles recueillent sur ce marché, les collectivités émettent des valeurs mobilières actions ou obligations qui matérialisent les droits acquis par ceux qui ont apporté ces capitaux ;
- Un marché secondaire sur lequel sont négociées les valeurs mobilières déjà émises bien que distincts, ces deux marchés sont indissociables l'un de l'autre. Sur le marché secondaire, la bourse organise les indispensables relais entre tous ceux qui souhaitent acheter des valeurs mobilières et ceux qui veulent les vendre pour retrouver la disponibilité de leurs avoirs ou pour les échanger contre d'autres titres (...)
[...] Cette seconde émission est aléatoire et dépend de l'évolution du cours de l'action. Intérêt pour l'émetteur : cette procédure permet de répartir sur plusieurs années une levée de fonds propres importante et ce à l'aide d'une seule procédure d'émission. Les frais sont donc moindres. Intérêt pour l'actionnaire : l'actionnaire peut souscrire à la première opération et vendre le bon, souscrire aux deux opérations, ou renoncer totalement aux ABSA. Il peut jouer de l'effet de levier des bons. 3-3 - Gestion active5 L'objectif de la gestion active est de parvenir à une performance supérieure à celle du marché, ou à celle d'un benchmark choisi comme référence. [...]
[...] Ces deux notions, étant fondamentales pour un agent économique, lors de la prise de décision, permettent de combiner les différents actifs de façon optimale à l'intérieur du portefeuille. Ce problème est celui du choix de portefeuille. Les travaux de Markowitz constituent une base indispensable au développement ultérieur de nombreuses modélisations dont les principales sont le modèle d'évaluation des actifs financiers (MEDAF) et le modèle de l'arbitrage pricing theory (APT) 1-1-2 - Le choix de portefeuille Le modèle d'optimisation de portefeuille proposé par Markowitz est celui de choix entre projets risqués. Il repose sur un certain nombre d'hypothèses. [...]
[...] La variation de ces variables n'explique donc pas celle des cours boursiers. Ce coefficient est d'une valeur assez élevée pour la rentabilité économique, l'autonomie financière, le résultat d'exploitation et la valeur à partir du résultat d'exploitation. Ceci montre que les cours sont corrélés à ces variables, cependant le signe de α indique que cette corrélation est positive entre les cours d'une part et l'autonomie financière et la valeur à partir du résultat d'exploitation d'autre part alors qu'elle négative pour les deux autres variables (la rentabilité économique et le résultat d'exploitation). [...]
[...] -Au moins une fois par mois, dans le cas des FCP d'entreprise -Chaque jour de bourse s'agissant des RCP d'intervention sur les marchés à terme. Notons enfin, qu'en ce qui concerne les revenus (dividendes ou intérêts), deux types d'OPCVM coexistent : les OPCVM de capitalisation qui réinvestissent automatiquement les revenus issus des titres détenus en portefeuille et les OPCVM de distribution qui distribuent périodiquement les revenus. De ce fait, le prix de rachat comprend les coupons reçus de titres détenus en portefeuille tant qu'ils ne sont pas distribués. [...]
[...] En France, les dividendes étant versés une fois par an, l'incidence est beaucoup plus forte. 3-4-2. La gestion tiltée11 La gestion indicielle tiltée se rapproche en fait plus de la gestion active que la gestion passive. Elle s'appuie sur les hypothèses de la théorie moderne du portefeuille. Cette gestion reste indicielle dans la mesure où il s'agit de battre l'indice sans exposer le portefeuille à un risque de marché supérieur à celui de l'indice. L'indice de référence sert à évaluer la performance du fonds. [...]
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