marchés financiers, Initial public offering, introduction en bourse, prix de l'action, cotation
Les premiers marchés financiers sont nés à Brugge au XIIIe et XIVe siècles. Ils faisaient beaucoup de commerce et devaient avoir un lieu pour s'échanger les marchandises.
Bulles spéculatives : Tulipomania aux Pays-Bas, puis en 1929, puis bulle internet dans les environ de 2000, et enfin crise des Subprimes.
Les marchés financiers se sont surtout développés au XIXe siècle au Etats-Unis et été très actifs jusqu'à la seconde guerre mondiale. Ensuite ils se sont développés en Europe et au Japon.
Grandes bourses aujourd'hui : Tokyo, Shangaï, New York, Londres, Paris, Francfort.
Les marchés en France se sont surtout développés à partir de 1978, avec la loi Monory : les particuliers ont pu investir leurs épargnes dans les actions et en 79 dans les obligations.
1983 : plusieurs compartiments sont créés dans le seul marché financier français.
1984 : réforme du système bancaire : dématérialisation des titres, pour des écritures sur des comptes.
1989-90 : introductions de la concurrence entre les actions (car ce qui pouvaient passer des ordres sur les marchés devaient avoir un agrément de l'Etat).
[...] Le marché primaire des actions : Action = titre de propriété sur une entreprise. Règle : une action = un vote ! L'intermédiaire va acheter un paquet d'actions à l'émetteur qu'il va ensuite revendre à ses clients suivant ceux qui pourraient être intéressés selon lui. Ainsi, l'intermédiaire rend un service à l'émetteur : ce dernier va donc payer un pourcentage sur chaque action vendue à l'intermédiaire qui la vendra au public (de l'ordre de 3 à Cette rémunération est exclusivement due au risque encouru par l'intermédiaire. [...]
[...] les sociétés matures : - la consécration d'une réussite - la liquidité des titres (parts sociales) les sociétés start-up : - besoin de fonds rapidement (les quelques créateurs ne sont pas capables d'investir assez). - Pour permettre aux actionnaires qui ont commencé l'aventure au début de se retirer et faire une plus-value (par ex. les business angels ou plus généralement les capitaux-risqueurs les motivations stratégiques : OPA : offre publique d'achat. Une entreprise achète une autre entreprise en payant grâce à la trésorerie ou grâce à un empreint. OPE : comme une OPA, mais l'entreprise qui achète va payer l'entreprise achetée avec des actions de l'entreprise qui achète. [...]
[...] Le dirigeant va proposer l'introduction en bourse et si les actionnaires acceptent, ils vont donner au dirigeant la capacité de le faire mais pendant une certaine période définis (car le dirigeant va essayer d'introduire l'entreprise au meilleur moment de la bourse), cet avis sera publié au BALO (bulletins des annonces légales obligatoires). Ensuite on fait valider l'introduction en bourse par les autorités financières. III- Remarques : Les questions à se poser pour une entreprise lors de l'introduction en bourse ? - introduction sur un ou plusieurs marchés ? si l'entreprise veut garder a clientèle domestiques ou si elle veut une renommée mondiale. [...]
[...] Attention : ces gendarmes ne sont pas efficaces à 100%. IV- La cotation (en France) : Pendant très longtemps, la cotation sur les marchés financiers se faisait à la crier. Maintenant, c'est informatisé. Un ordinateur central reçoit tous les ordres et donne un prix d'équilibre. Les scalpeurs : achètent en bourse moins cher et vendent à l'étranger ils font un petit profit, mais aide à réguler les cours et on obtient donc un prix d'équilibre sur les bourses. Les chartistes : Achètent et vendent selon l'évolution des graphiques boursiers et donc avec leurs flairs. [...]
[...] (Finance) On considère que lorsqu'une information arrive sur un marché financier, elle va se répercuter immédiatement sur le cour boursier (ex : refus du plan de sauvetage américain pour redresser l'économie chutes des cours boursiers à Wall Street). Attention : les délits d'initiés sont interdits sur les marchés financiers. (Avoir une information et l'utiliser à son propre profit) ex : Rothschild, banquier en 1815 II- les différents types de marchés : classification ordre/prix : En France, on a un système de marché centralisateur. Avant que le marché s'ouvre il y a des offres et des demandes d'achats d'actions qui arrivent sur un ordinateur. Cet ordinateur va donc rechercher le prix d'équilibre, celui qui permettra le plus d'échange. [...]
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