Le contrôle de gestion est défini comme l'ensemble des techniques et des personnes qui permettent à l'entreprise, pendant le déroulement de son activité, de s'assurer que les décisions sont prises en conformité avec ses objectifs. Malgré la connotation du terme contrôle qui évoque, en français, une idée d'action se produisant a posteriori, le contrôle de gestion doit intervenir avant que l'action ne soit écoulée.
Sa raison d'être est précisément de permettre que des actions correctives soient développées afin d'atteindre les résultats attendus en dépit de tous les événements non prévus qui peuvent survenir.
Trois facteurs sont à l'origine de l'évolution du métier de contrôleur de gestion, le premier a d'abord été le détachement progressif de la comptabilité, le second a été l'apparition des outils de mesure de la performance qui fut une nécessité face à la décentralisation des responsabilités et le troisième a été la nécessité d'anticiper par la mise en place de procédures de planification opérationnelles et stratégiques.
Le contrôleur de gestion exerce un contrôle permanent sur les budgets de l'entreprise. Il réalise des budgets prévisionnels et élabore les outils nécessaires au suivi des résultats. En termes de prévision, le contrôleur de gestion participe à la définition des objectifs de l'entreprise ou d'un service, à partir des éléments donnés par les services commerciaux.
[...] Cependant, elles vont nécessiter de profonds changements informatiques, aussi bien dans les grands groupes cotés en bourse que dans les PME-PMI. Le changement de référentiel comptable qu'ont connus toutes les entreprises a transformé le fonctionnement des marchés financiers, des entreprises et des économies, d'une part, et l'élaboration des comptes, d'autre part. Moins médiatisé dans le grand public que le passage à l'euro, ce changement aux normes internationales IAS/IFRS aura pourtant beaucoup d'impact. L'objectif est de rétablir de la clarté dans comptes des entreprises, la confiance des investisseurs sur les marchés boursiers, mise à mal ces cinq dernières années par des scandales à répétition et par l'explosion de la dette des entreprises. [...]
[...] Ce seuil de signification (langage usuel des auditeurs financiers) dépend du jugement du professionnel. L'information doit enfin être fiable utilisée sans risque d'erreur. La fiabilité repose sur quatre principes fondamentaux : la neutralité, l'apparence juridique, la prééminence de la réalité économique sur l'apparence juridique et le respect de l'image fidèle. Ce qu'il est important de retenir avec les normes IFRS, on passe d'une représentation patrimoniale (ou prudentielle) de l'entreprise à une représentation financière et économique (image de la performance économique). [...]
[...] Trois facteurs sont à l'origine de l'évolution du métier de contrôleur de gestion, le premier a d'abord été le détachement progressif de la comptabilité, le second a été l'apparition des outils de mesure de la performance qui fut une nécessité face à la décentralisation des responsabilités et le troisième a été la nécessité d'anticiper par la mise en place de procédures de planification opérationnelle et stratégique. Le métier de contrôleur de gestion Le contrôleur de gestion exerce un contrôle permanent sur les budgets de l'entreprise. Il réalise des budgets prévisionnels et élabore les outils nécessaires au suivi des résultats. [...]
[...] Toutes ses interventions servent notamment à l'analyse des écarts existants entre les chiffres de prévisions et les chiffres réalisés. Il fait remonter l'information jusqu'à la direction générale et préconise des solutions pour remédier aux difficultés rencontrées. Le contrôleur de gestion a des missions plus ou moins étendues suivant l'entreprise dans laquelle il travaille. Dans les PME, le contrôle de gestion est assuré en même temps que d'autres fonctions comme la comptabilité, les finances, l'administration, la gestion du personnel ou l'informatique. Dans les grandes entreprises, la fonction est plus spécialisée. [...]
[...] Son rôle est de veiller à ce que tous les risques soient maîtrisés par les opérationnels. Auparavant, l'audit interne était limité à l'audit comptable et financier. Aujourd'hui, la tendance est à un élargissement de l'audit à l'ensemble des fonctions de l'entreprise : audit de la production, du commercial, de l'informatique, de la qualité . Dès lors, l'audit n'est plus une fonction financière en tant que telle et correspond à un rôle de consultant interne au sens large. Auditeur externe : La finance et la comptabilité, voilà les spécialités de l'auditeur externe. [...]
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