Toute activité humaine organisée doit répondre à deux exigences fondamentales et contradictoires : la division du travail entre les différentes tâches à accomplir et la coordination de ces tâches pour l'accomplissement du travail. La structure d'une organisation peut être définie simplement comme la somme totale des moyens employés pour diviser le travail entre tâches distinctes et pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches.
Pour faire fonctionner cette organisation il faut mettre des moyens ou des mécanismes de coordination (ou de communication) (...)
[...] Bref, un manager doit continuellement faire des choix quant à la manière dont les ressources seront affectées. Le rôle de négociateur : II est étroitement lié à celui de répartiteur de ressources. Le manager représente un département ou l'entreprise elle-même lors des marchandages avec ses divers partenaires. Le rôle de pacificateur : le manager est amené à résoudre les conflits entre ses subordonnés et ses différents départements - Les rôles relatifs aux relations interpersonnelles : Les rôles interpersonnels qui concernent les relations avec les autres et découlent directement de l'autorité formelle du manager. [...]
[...] Elle doit être utile, son utilité est appréciée à travers la possibilité de son analyse et son degré d'adaptation aux besoins du responsable concerné et à ses possibilités d'action. Par exemple, un directeur régional des ventes est intéressé par la connaissance des ventes réalisées dans sa région comparativement aux ventes des autres régions plutôt que des ventes totales réalisées par l'entreprise. La mesure des résultats doit être fiable. Pour que les résultats mesurés soient fiables et puissent donner lieu à des mesures correctives efficaces, il faut que les procédés de mesure soient cohérents et bien étudiés. [...]
[...] Ce sont les unités fonctionnelles logistiques. On peut trouver ces unités à différents niveaux de la hiérarchie en fonction de ceux auxquels ils apportent un service. Le service juridique est situé prés du sommet. Au niveau intermédiaire on trouve des unités auxquelles les décideurs font appel : recherche et développement, tarification et au niveau le plus bas on trouve les unités qui servent généralement le centre opérationnel comme la cantine, la réception, le transport L'organigramme de l'entreprise : Les entreprises qui appartiennent à une même branche professionnelle, présentent la caractéristique commune de transformer les mêmes matières, d'utiliser les mêmes moyens, en exerçant la même activité pour produire des biens ou des services analogues. [...]
[...] Déclinable : Le logo doit être déclinable sur les différents supports de la communication d'entreprise (Papeterie, emballage, les locaux, sur les véhicules, les outils de communication). Cohérent : avec la réalité de l'entreprise, cette cohérence se manifeste à un triple niveau : - Un logo résume ce qui est l'entreprise. - Il correspond à l'image donnée par l'entreprise. - Il s'inscrit dans la politique de communication de l'entreprise. Evocateur : de l'identité de l'entreprise. Il parle de lui-même sans avoir recours à un soutien typographique du nom de l'entreprise. [...]
[...] Le terme l'audit de communication peut avoir deux acceptions : - L'audit de communication en tant que vérification-sanction : dans ce cas, il constitue un moyen de vérifier si le travail a bien été effectué conformément aux objectifs fixés. - L'audit de communication en tant que maîtrise l'audit de communication", c'est-à-dire se maîtriser"). L'audit de communication est étroitement lié à la planification à travers laquelle sont déterminés les objectifs et les moyens nécessaires pour les réaliser. Il permet de vérifier si les objectifs fixés dans le cadre de la planification (plans, budgets ) ont été réalisés et si les moyens ont été employés conformément aux prévisions. Après avoir contrôlé, on propose les corrections nécessaires. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture