Nous assistons actuellement à l'essor de la notion de groupe qui recouvre une part croissante de l'activité économique. Les motivations traduisent à la constitution d'un groupe sont multiple. On assiste dans quasiment tous les secteurs d'activité à un phénomène de concentration source d'avantage concurrentiel. Les entreprises se développent sur un métier de base en optant pour une expansion géographique.
L'expansion à l'international conduit le plus souvent à la constitution de nouvelles entités juridiques. Certaines entreprises se diversifient sur de nouveaux métiers et forment un groupe de type conglomérat. D'autres entreprises mènent une stratégie d'alliance débouchant sur la création d'entités communes. Les avantages de la constitution en groupe sont nombreux : partage des risques, ouverture de capital, accès facilité aux marchés financiers, optimisation fiscale…
Les comptes consolidés traduisent la réalité économique d'un groupe. L'analyse des comptes consolidés est désormais une compétence incontournable. Ces comptes étant l'outil privilégié de la communication financière externe, le management et la direction financière du groupe doivent en maîtriser l'interprétation. Les investisseurs utilisent les comptes consolidés pour évaluer la rentabilité d'ensemble du groupe et ses perspectives. Pour le banquier, l'analyse des comptes consolidés est un complément indispensable pour appréhender le risque en mesurant l'endettement et la capacité de remboursement d'ensemble du groupe. Le crédit manager combine souvent l'analyse des comptes individuels de son client avec l'analyse des comptes du groupe auquel celui-ci appartient. En effet, lorsqu'il existe des liens économiques et financiers forts entre les différentes entités, la solvabilité d'une filiale dépend de la solvabilité d'ensemble du groupe.
[...] Le résultat financier : Il renseigne sur la politique financière de l'entreprise, notamment, sa politique d'endettement, les charges financières, le choix entre les divers modes de financement possibles Il est obtenu par la soustraction des charges financières des produits financiers : Le résultat courant avant impôt : Le CPC fait apparaître un indicateur intermédiaire : le résultat courant avant impôt qui mesure l'impact des opérations dites courantes (d'exploitation et financières). Sa comparaison au résultat d'exploitation montre les incidences de la politique financière de l'entreprise. Le résultat non courant: Il traduit l'influence des opérations qui ne s'inscrivent pas dans les opérations normales de l'entreprise vu leurs caractères exceptionnels. [...]
[...] ) pour faire face à ses besoins de financement d'exploitation. Il y a donc un risque financier à court terme si l'entreprise ne parvient pas à accroître rapidement ses ressources financières à long terme, ou à limiter ses besoins d'exploitation à court terme Analyse de la structure financière du bilan par ratios L'étude de la structure financière d'une entité permet essentiellement d'appréhender l'équilibre de ses ressources de financement. Cette structure est donc caractérisée par les différentes proportions prises par chacune des ressources de financement, actuellement un débat oppose les chercheurs sur la question du dosage dettes- fonds propres pour une meilleure valeur de l'entreprise. [...]
[...] Surtout quand on raisonne en valeurs historiques ou pas la méthode du coût amorti. Il aura plus de sens si on raisonne en ‘juste valeur' Ratio d'amortissements Le ratio d'amortissement permet de révéler la politique d'investissement ou de désinvestissement, et d'amortissement de l'entreprise. Ainsi, un taux élevé ou croissant sur plusieurs années indique des équipements vieillis ou vieillissants dont il faut attendre ou anticiper le renouvellement; il convient alors de se demander si l'entreprise a les moyens suffisants pour financer ce renouvellement. [...]
[...] Privatisation traduite par la cession de 51% du capital social de CIOR au Groupe suisse Holcim Ltd (ex-HOLDERBANK) et introduction en bourse. 1990 : Début des travaux pour la réalisation d'une ligne complète de production de clinker à Fès et lancement de l'activité BPE avec l'installation d'une centrale à béton à Fès. 1989 : Installation d'un centre de broyage à Fès d'une capacité de tonnes par an. 1985 : Création de Ciments Blanc du Maroc à Casablanca. 1982 : Installation à Casablanca d'un centre d'ensachage d'une capacité de tonnes par an. [...]
[...] - Le CPJ 35 est un ciment portland composé dont les constituants principaux sont le clinker du filler et du gypse. La classe de résistance du CPJ 35 en fait un produit particulièrement adapté à la fabrication les mortiers et les enduits pour la maçonnerie. Le CPJ 35 est également utilisable dans le domaine routier pour la stabilisation des sols et des couches de chaussées. - Le CPJ 45 est un ciment portland composé dont les constituants principaux sont le clinker du filler et du gypse. [...]
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