vocabulaire, épargne, multiplicateur Keynésien, investissement, entreprise
On distingue plusieurs modalités d'investissement : l'investissement matériel désigne l'acquisition de machines par l'entreprise ; l'investissement immatériel définit l'ensemble des dépenses que l'entreprise consacre à la formation du personnel, à la recherche-développement ou à la publicité. En effet ces dépenses, en accroissant ses ventes, lui permettent d'augmenter sa production.
La part de ce type d'investissement progresse de plus en plus dans nos sociétés où les entreprises cherchent à augmenter leur compétitivité par la réalisation de produits nouveaux ou plus performants.
[...] La valeur ajoutée est la différence entre la valeur des biens ou services produits et la valeur des consommations intermédiaires utilisées dans le processus de production. Cette valeur ajoutée fait l'objet d'un partage entre tous ceux qui ont contribué cette production, les propriétaires et les salariés de l'entreprise. Il est rappelé que la valeur ajoutée est la base du calcul du Produit intérieur brut du pays. Le taux de marge, ou rapport de l'excédent brut d'exploitation sur la valeur ajoutée, permet de calculer la rentabilité de l'entreprise. On peut définir le taux d'intérêt comme le loyer de l'argent. [...]
[...] L'autofinancement se mesure à travers les dotations aux amortissements (renouvellement des équipements), les provisions et les bénéfices non distribués, autrement dit mis en réserve. La demande anticipée : est la demande adressée aux entreprises telle qu'elle est prévue par les entrepreneurs. La demande anticipée est ce que J.M. Keynes appelle la demande effective. Elle est composée de la demande anticipée de biens (et de services) de consommation et de biens d'investissement par les entrepreneurs et détermine la production mise en œuvre. [...]
[...] Il est ce qui reste de la valeur ajoutée (la valeur nouvelle créée par la production) après la distribution des salaires (directs et indirects, c'est-à -dire y compris les cotisations sociales) et le paiement des impôts liés à la production. Donc : E.B.E. = Valeur ajoutée - (salaires cotisations sociales) - impôts liés à la production Déterminant à l'investissement : Epargne Multiplicateur Keynésien : Production Revenus Investissement de l'Etat consommation = circulation de l'investissement en boucle jusqu'à épuisement dans le cercle économique effet de levier (de l'endettement) : avec l'endettement on peux investir plus et ainsi augmenter la rentabilité. Mais si la rentabilité est trop faible par rapport aux taux d'intérêt la rentabilité baisse. [...]
[...] La part de ce type d'investissement progresse de plus en plus dans nos sociétés les entreprises cherchent augmenter leur compétitivité par la réalisation de produits nouveaux ou plus performants ; l'investissement de capacité a pour objet d'accroître les capacités de production de l'entreprise par l'acquisition de nouvelles machines, souvent pour répondre une forte augmentation de la demande ; l'investissement de productivité ou de rationalisation définit la politique de l'entreprise maintenir un même niveau de production mais en réduisant les coûts du personnel en le remplaçant par des machines. On appelle investissement les dépenses engagées par l'entreprise pour améliorer ses capacités de production. Cette amélioration peut revêtir deux formes. La première, appelée amortissement, a pour objet de remplacer des machines usées ou encore obsolescentes, c'est-à-dire dépassées par le progrès technique. La seconde est destinée acquérir de nouvelles machines afin d'augmenter la production de l'entreprise. On appelle investissement brut l'ensemble de ces deux formes. [...]
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